La Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix à Yamoussoukro, où siègera le futur Sénat. © Wikimedia commons
Ce samedi, 66 sénateurs seront élus par un collège de grands électeurs, composé des députés et des conseillers municipaux, régionaux et de district autonomes. Le tiers restant sera nommé par le président de la République à une date ultérieure, laissée à la discrétion du chef de l'Etat.
Cette nouvelle chambre du Parlement qui devrait entrer en fonction le 10 avril prochain siègera à Yamoussoukro, la capitale administrative de la Côte d'Ivoire, dans l'enceinte de la Fondation Félix-Houphouët-Boigny.
Malgré des tensions internes, les partis de la coalition au pouvoir le RHDP se sont accordés pour présenter des listes communes. Elles feront face à celles de candidats indépendants.
Ce scrutin inédit dans l'histoire du pays est très controversé. L'opposition, qui conteste la légitimité de la commission électorale indépendante, n'a pas présenté de liste.
Les opposants s'appuient sur un arrêt de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples rendu en novembre 2016, et dans lequel la cour estime que l'Etat ivoirien a « violé son obligation de créer un organe électoral indépendant et impartial ».
Jeudi, la tension est montée d'un cran lorsqu'une manifestation de l'opposition a été empêchée par la police.
Cette nouvelle chambre du Parlement qui devrait entrer en fonction le 10 avril prochain siègera à Yamoussoukro, la capitale administrative de la Côte d'Ivoire, dans l'enceinte de la Fondation Félix-Houphouët-Boigny.
Malgré des tensions internes, les partis de la coalition au pouvoir le RHDP se sont accordés pour présenter des listes communes. Elles feront face à celles de candidats indépendants.
Ce scrutin inédit dans l'histoire du pays est très controversé. L'opposition, qui conteste la légitimité de la commission électorale indépendante, n'a pas présenté de liste.
Les opposants s'appuient sur un arrêt de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples rendu en novembre 2016, et dans lequel la cour estime que l'Etat ivoirien a « violé son obligation de créer un organe électoral indépendant et impartial ».
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