Ce 1er mai, les syndicats présentent leurs cahiers de doléances au Chef de l’Etat. Une occasion que le Secrétaire général du Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) pour attirer l’attention du président Macky Sall sur «l’environnement global des médias (qui) est à revoir». Selon lui, l’attribution facile de fréquence radio et télé crée de gros dangers
Pour Ibrahima Khalilloulah Ndiaye, «il ne s’agit pas pour l’Etat de suppléer à l’initiative privée mais de les canaliser, les aider».
«Après demain, la CAP (Coordination des Associations de Presse) va marcher pour réclamer de meilleure conditions», rappelle le journaliste qui explique qu’«il s’agit de se battre pour que la presse soit digne d’une démocratie comme la nôtre».
Demandant «que l’Etat puisse étudier les possibilités de revenir sur l’environnement des médias», au nom de la CAP, il sollicite une audience auprès du Chef de l’Etat, «pour évoquer avec (lui) un plan national pour la presse».
Pour Ibrahima Khalilloulah Ndiaye, «il ne s’agit pas pour l’Etat de suppléer à l’initiative privée mais de les canaliser, les aider».
«Après demain, la CAP (Coordination des Associations de Presse) va marcher pour réclamer de meilleure conditions», rappelle le journaliste qui explique qu’«il s’agit de se battre pour que la presse soit digne d’une démocratie comme la nôtre».
Demandant «que l’Etat puisse étudier les possibilités de revenir sur l’environnement des médias», au nom de la CAP, il sollicite une audience auprès du Chef de l’Etat, «pour évoquer avec (lui) un plan national pour la presse».