Retournement de situation ! Dans une correspondance datée du 4 octobre, adressée au Secrétaire général national du PDS, Idrissa Seck a signifié à Me Wade l’irrecevabilité de sa candidature.
«Les experts que j’ai consultés sont formels : votre candidature pour un troisième mandat est inconstitutionnel, donc, irrecevable», a sifflé Idrissa Seck qui ajoute que «le terme du mandat de Wade en cours est 2012 et ne peut être prorogé».
A l’en croire, c’est l’avis du Professeur Guy Carcassonne, Professeur agrégé des Facultés de droit dont l’avis est joint ; c’est aussi les avis des professeurs et Docteur en droit Pape Demba Sy, Mounir Sy, Ababacar Guèye dont les avis ont été rendus publics. Mieux, Idrissa a consulté son camarade de parti, le Constitutionnaliste Serigne Diop.
«J’ai aussi consulté le distingué constitutionnaliste, le Professeur Serigne Diop, à ce jour le plus ancien dans le grade au Sénégal», confie le maire de Thiès qui note que ce dernier s’emmure à cause de ses fonctions. «Ses fonctions actuelles l’empêchent de donner un avis public sur la question, mais il est prêt à vous le communiquer si vous lui en faites la demande, dans le cadre d’une audience», clame Idrissa Seck qui explique les risques encourus en cas de persistance de la part de son mentor. «Dès lors, (…) si persistez à) présenter votre candidature, malgré l’avis unanime de ces éminents spécialistes, vous faites courir notre parti le risque d’être absent de cette importante compétition», alerte Idrissa Seck qui ne veut rien lâcher.
«Votre candidature à la prochaine élection présidentielle, annoncée depuis plusieurs mois déjà, suscite débats et interprétations dans l’ensemble du pays», fait remarquer le membre du Comité directeur du PDS qui poursuite que de toutes les questions posées, celle de la conformité ou non est plus importante.
«De toutes les questions que pose cette candidature, celle de sa conformité ou non à la Constitution de notre pays est, à mes yeux, la plus importante», indique Idrissa Seck qui rappelle les dispositifs relatifs à la désignation d’un candidat au PDS. «L’article 20 du règlement intérieur du PDS stipule que le candidat à la Présidence de la République est investi parle Congrès sur présentation de la Convention nationale ou du Bureau politique», rectifie-t-il.
«Les experts que j’ai consultés sont formels : votre candidature pour un troisième mandat est inconstitutionnel, donc, irrecevable», a sifflé Idrissa Seck qui ajoute que «le terme du mandat de Wade en cours est 2012 et ne peut être prorogé».
A l’en croire, c’est l’avis du Professeur Guy Carcassonne, Professeur agrégé des Facultés de droit dont l’avis est joint ; c’est aussi les avis des professeurs et Docteur en droit Pape Demba Sy, Mounir Sy, Ababacar Guèye dont les avis ont été rendus publics. Mieux, Idrissa a consulté son camarade de parti, le Constitutionnaliste Serigne Diop.
«J’ai aussi consulté le distingué constitutionnaliste, le Professeur Serigne Diop, à ce jour le plus ancien dans le grade au Sénégal», confie le maire de Thiès qui note que ce dernier s’emmure à cause de ses fonctions. «Ses fonctions actuelles l’empêchent de donner un avis public sur la question, mais il est prêt à vous le communiquer si vous lui en faites la demande, dans le cadre d’une audience», clame Idrissa Seck qui explique les risques encourus en cas de persistance de la part de son mentor. «Dès lors, (…) si persistez à) présenter votre candidature, malgré l’avis unanime de ces éminents spécialistes, vous faites courir notre parti le risque d’être absent de cette importante compétition», alerte Idrissa Seck qui ne veut rien lâcher.
«Votre candidature à la prochaine élection présidentielle, annoncée depuis plusieurs mois déjà, suscite débats et interprétations dans l’ensemble du pays», fait remarquer le membre du Comité directeur du PDS qui poursuite que de toutes les questions posées, celle de la conformité ou non est plus importante.
«De toutes les questions que pose cette candidature, celle de sa conformité ou non à la Constitution de notre pays est, à mes yeux, la plus importante», indique Idrissa Seck qui rappelle les dispositifs relatifs à la désignation d’un candidat au PDS. «L’article 20 du règlement intérieur du PDS stipule que le candidat à la Présidence de la République est investi parle Congrès sur présentation de la Convention nationale ou du Bureau politique», rectifie-t-il.