L’ex Président du Conseil de la République pour les affaires économiques et sociales, Me Mbaye Jacques Diop est d’avis que le moment est venu de créer l’électrochoc auprès de l’opinion. Dans une interview qu’il a accordé au journal l’As, il a indiqué que « cette équipe sera politiquement bien formée et techniquement aussi, une équipe resserrée mais dynamique pour préparer l’élection de 2012 qui ne sera pas simple. Il faudra beaucoup d’ardeur et de proximité pour gagner». Pour lui, il ne faut pas sous estimer l’élection de 2012. Elle sera difficile. Il faut la prendre avec beaucoup de sérieux.
«A 300 jours de la Présidentielle, si j’étais à la place de Wade, j’allais mettre en place une équipe de campagne» a-t-il laissé entendre.
Revenant sur le cas Idrissa Seck. L’ancien Maire de Rufisque a fait comprendre en politique, par expérience, je préfère l’addition à la soustraction. Entre lui et moi, nous n’avons pas d’atomes crochus. Mais j’estime qu’il a beaucoup apporter au PDS. Et qu’il peut faire gagner s’il reste avec nous dans le parti. Vous savez qu’être maire dans une ville et être reconduit ce n’est pas facile. Idy a été maire de Thiès et il a été reconduit de fort belle manière».
Me Mbaye Jacques Diop de souligner: «aujourd’hui, nous avons perdu beaucoup de collectivités locales, c’est un signe alarmant pour un parti au pouvoir».
«A 300 jours de la Présidentielle, si j’étais à la place de Wade, j’allais mettre en place une équipe de campagne» a-t-il laissé entendre.
Revenant sur le cas Idrissa Seck. L’ancien Maire de Rufisque a fait comprendre en politique, par expérience, je préfère l’addition à la soustraction. Entre lui et moi, nous n’avons pas d’atomes crochus. Mais j’estime qu’il a beaucoup apporter au PDS. Et qu’il peut faire gagner s’il reste avec nous dans le parti. Vous savez qu’être maire dans une ville et être reconduit ce n’est pas facile. Idy a été maire de Thiès et il a été reconduit de fort belle manière».
Me Mbaye Jacques Diop de souligner: «aujourd’hui, nous avons perdu beaucoup de collectivités locales, c’est un signe alarmant pour un parti au pouvoir».