La candidature de Me Abdoulaye Wade pour les élections de 2012 continue de susciter les débats au sein des analystes et autres Sénégalais. Invité ce dimanche à, l’émission «Remue-ménage» de la Rfm, le responsable du Directoire du Forum Respublica Disso, une ONG basée en France, estime que Me Wade ne sera pas candidat.
«Je pense qu’il ne sera pas candidat parce qu’il y aura une telle campagne nationale et internationale pour que sa candidature ne soit pas acceptée par le Conseil constitutionnel qui n’aura autre chose à faire que de l’invalider», a soutenu ce dimanche Mansour Guèye qui clame que la Constitution est très claire à ce propos.
«Sur la candidature d’Abdoulaye Wade, je pense que les choses sont assez claires : un il y a la Constitution de notre pays qui limite les mandats à deux. De ce point de vue-là, Abdoulaye Wade ne peut pas être candidat aux prochaines élections de 2012», explique Mansour qui ajoute que «de l’avis d’éminents professeurs sénégalais, qui ont dit que vu la constitution actuelle, Wade ne peut pas être candidat». Aussi, fait remarquer M. Guèye, «il la contestation même au sein de sa majorité». Le Responsable du Forum Respublica conclut qu’il y a même l’aveu (qui est une preuve) de Me Wade qui a dit en 2007 qu’il ne pouvait pas se représenter aux élections de 2012. «Personne ne l’a obligé à dire cela ; il était totalement dans l’esprit de la constitution en ce moment-là», a-t-il indiqué.
M. Guèye se dit convaincu que cette candidature est une régression. «Je pense que la candidature de Me Wade est une régression. c'est pourquoi je pense qu'après ce qu’on a vécu en dix ans, on ne peut pas, aujourd’hui dire, quand même qu’on va continuer avec», a notifié M. Guèye qui estime qu'il est inadmissible que ce Pouvoir maintienne un pays comme le Sénégal en campagne électorale permanente . «Le Président a déclaré sa candidature il y a un an et demi. Donc, depuis un an et demi, on est en campagne ; ça veut dire que d’ici 2012, il y aura quasiment 3 ans et demi de campagne pour ce Pouvoir», constate Mansour Guèye qui martèle «qu’on ne peut pas dans un Etat comme le Sénégal avec les moyens assez limités dont on dispose être dans une campagne électorale permanente».
«Je pense qu’il ne sera pas candidat parce qu’il y aura une telle campagne nationale et internationale pour que sa candidature ne soit pas acceptée par le Conseil constitutionnel qui n’aura autre chose à faire que de l’invalider», a soutenu ce dimanche Mansour Guèye qui clame que la Constitution est très claire à ce propos.
«Sur la candidature d’Abdoulaye Wade, je pense que les choses sont assez claires : un il y a la Constitution de notre pays qui limite les mandats à deux. De ce point de vue-là, Abdoulaye Wade ne peut pas être candidat aux prochaines élections de 2012», explique Mansour qui ajoute que «de l’avis d’éminents professeurs sénégalais, qui ont dit que vu la constitution actuelle, Wade ne peut pas être candidat». Aussi, fait remarquer M. Guèye, «il la contestation même au sein de sa majorité». Le Responsable du Forum Respublica conclut qu’il y a même l’aveu (qui est une preuve) de Me Wade qui a dit en 2007 qu’il ne pouvait pas se représenter aux élections de 2012. «Personne ne l’a obligé à dire cela ; il était totalement dans l’esprit de la constitution en ce moment-là», a-t-il indiqué.
M. Guèye se dit convaincu que cette candidature est une régression. «Je pense que la candidature de Me Wade est une régression. c'est pourquoi je pense qu'après ce qu’on a vécu en dix ans, on ne peut pas, aujourd’hui dire, quand même qu’on va continuer avec», a notifié M. Guèye qui estime qu'il est inadmissible que ce Pouvoir maintienne un pays comme le Sénégal en campagne électorale permanente . «Le Président a déclaré sa candidature il y a un an et demi. Donc, depuis un an et demi, on est en campagne ; ça veut dire que d’ici 2012, il y aura quasiment 3 ans et demi de campagne pour ce Pouvoir», constate Mansour Guèye qui martèle «qu’on ne peut pas dans un Etat comme le Sénégal avec les moyens assez limités dont on dispose être dans une campagne électorale permanente».