Aux yeux d’Omar Youme la réduction du mandat présidentiel de sept (7) à cinq (5) ans n’est pas justifiable. Le porte-parole du gouvernement a soutenu que l’organisation du référendum peut affecter notre économie. « Il faut se poser la question, pourquoi réduire ce mandat ? Pourquoi exposer tant de frais, tant d’argents, temps de finances pour réduire un mandat ? La question que nous devons nous poser nous sommes en plein sur la voie de l’émergence. De mon point de vue, sur le plan économique, politique, constitutionnel, cela n’est pas justifiable. Sur le plan des valeurs à part la valeur démocratique en terme de symbolisme je ne vois pas ce que la réduction du mandat peut apporter pour le Sénégal ».
Selon lui, Macky Sall ne peut pas faire une exception car, aucun chef d’Etat n’a eu à réduire son mandat. « Ce qui est exceptionnel, aucun chef d’Etat sauf cas d’exception, de maladie, de démission, n’a eu à réduire son mandat. Donc je pense que le Sénégal ne peut pas être une exception. » Il ajoute qu’au sein de l’APR le débat doit être posé. « Je demande aux frères de partie d’engager ce débat, d’évaluer l’impact et de prendre une décision. Au-delà de la décision et de la volonté politique qui a été affirmée par le chef de l’Etat son Excellence Macky Sall », à souligner le porte-parole du gouvernement lors d’une conférence qu’il a animé sur le bilan à mi-parcours du président Sall.
Selon lui, Macky Sall ne peut pas faire une exception car, aucun chef d’Etat n’a eu à réduire son mandat. « Ce qui est exceptionnel, aucun chef d’Etat sauf cas d’exception, de maladie, de démission, n’a eu à réduire son mandat. Donc je pense que le Sénégal ne peut pas être une exception. » Il ajoute qu’au sein de l’APR le débat doit être posé. « Je demande aux frères de partie d’engager ce débat, d’évaluer l’impact et de prendre une décision. Au-delà de la décision et de la volonté politique qui a été affirmée par le chef de l’Etat son Excellence Macky Sall », à souligner le porte-parole du gouvernement lors d’une conférence qu’il a animé sur le bilan à mi-parcours du président Sall.