En conférence de presse ce vendredi, le Collectif des Organisations de la Société Civile pour les Élections (COSCE) a énuméré les manquements constatés dans le processus électoral pour l'échéance du 24 mars prochain.
Le COSCE a constaté "un impact limité des initiatives pour l'apaisement de l'espace politique, la courte durée de la période accordée pour la révision exceptionnelle des listes électorales ", a renseigné Valdiodio Ndiaye. Il poursuit : " Le faible niveau d'enrôlement, notamment des jeunes lors de la révision, le niveau d'information insuffisant pour la sensibilisation des citoyens ".
En plus d'une "remise en cause de la fiabilité de l'outil de vérification des parrainages de certains candidats ", Valdiodio Ndiaye dénote une "faible représentation des femmes dans la liste des candidats". Des cas de violences sont notés entre militants, des diverses formations politiques avant et pendant la campagne électorale, selon le Collectif, qui, n'a pas tardé à signaler l'utilisation "des moyens de l'État à des fins politiques".
Valdiodio Ndiaye précise : "Voilà un peu les points que nous ont remontés nos observateurs de long terme (OLP)". Comptant déployé plus de 1000 observateurs à travers le pays, le COSCE va "assurer la collecte, la vérification et l'analyse des résultats et des rapports d'observation. Ils seront conduits conformément aux principes d'impartialité et d'équité et ses engagements internationaux du Sénégal".
Le Collectif aura sa "station room" à Radisson où il pourra, disent-ils, disposer à temps réel de données fiables et statiquement représentatifs à l'échelle du territoire national.
Le COSCE a constaté "un impact limité des initiatives pour l'apaisement de l'espace politique, la courte durée de la période accordée pour la révision exceptionnelle des listes électorales ", a renseigné Valdiodio Ndiaye. Il poursuit : " Le faible niveau d'enrôlement, notamment des jeunes lors de la révision, le niveau d'information insuffisant pour la sensibilisation des citoyens ".
En plus d'une "remise en cause de la fiabilité de l'outil de vérification des parrainages de certains candidats ", Valdiodio Ndiaye dénote une "faible représentation des femmes dans la liste des candidats". Des cas de violences sont notés entre militants, des diverses formations politiques avant et pendant la campagne électorale, selon le Collectif, qui, n'a pas tardé à signaler l'utilisation "des moyens de l'État à des fins politiques".
Valdiodio Ndiaye précise : "Voilà un peu les points que nous ont remontés nos observateurs de long terme (OLP)". Comptant déployé plus de 1000 observateurs à travers le pays, le COSCE va "assurer la collecte, la vérification et l'analyse des résultats et des rapports d'observation. Ils seront conduits conformément aux principes d'impartialité et d'équité et ses engagements internationaux du Sénégal".
Le Collectif aura sa "station room" à Radisson où il pourra, disent-ils, disposer à temps réel de données fiables et statiquement représentatifs à l'échelle du territoire national.