Juste après la sortie de la liste des 20 candidats à la présidentielle, les avis ont jailli de toutes les « chapelles politiques ». Qui pour féliciter d’autres pour condamner. Les membres de l’ex-Pastef n’ont pas dérogé à cette règle. Le secrétariat national de l’ex-Pastef, par la voix de son chargé de communication El Malick Ndiaye a sorti un communiqué. Dans lequel Monsieur Ndiaye, qualifie de « précédent dangereux » dans l’histoire politique du Sénégal. « Le Président Ousmane Sonko, s’est battu avec l’ensemble des patriotes (…), mais les sages du Conseil constitutionnel viennent de créer le précédent le plus dangereux de l’histoire politique du Sénégal et le peuple retiendra », dira Monsieur dans la déclaration.
Dans sa logique de condamnation, le chargé de communication de l’ex-Pastef s’est aussi insurgé contre la mise à l’écart de candidats sur la base de leur représentativité parlementaire ou politique clairement définie. Chose que le cadre de cette formation dissoute trouve contestable.
Pour l'heure, chez les partisans de Sonko, c’est la candidature de Bassirou Diomaye Faye qui est dans l'air du temps. Finalement, l'inspecteur des impôts dont on disait être le plan B des ex-Patriotes, est officiellement candidat à la présidentielle de février prochain. Il ne fait l’ombre d’aucun doute, d’après les termes d’El Malick Ndiaye que « la toute dernière concrétisation du projet et de la conquête du pouvoir dans 35 jours » est arrivée.
Faisant allusion au recours déposé par Thierno Alassane Sall contre la candidature de Karim Wade, Monsieur Ndiaye a fait part de son incompréhension sur cette affaire. Et le chargé de communication de l’ex-Pastef de s’interroger : c’est quand même incompréhensible qu’un candidat de l’opposition puisse tenter de faire éliminer un autre candidat du même camp ?
Dans sa logique de condamnation, le chargé de communication de l’ex-Pastef s’est aussi insurgé contre la mise à l’écart de candidats sur la base de leur représentativité parlementaire ou politique clairement définie. Chose que le cadre de cette formation dissoute trouve contestable.
Pour l'heure, chez les partisans de Sonko, c’est la candidature de Bassirou Diomaye Faye qui est dans l'air du temps. Finalement, l'inspecteur des impôts dont on disait être le plan B des ex-Patriotes, est officiellement candidat à la présidentielle de février prochain. Il ne fait l’ombre d’aucun doute, d’après les termes d’El Malick Ndiaye que « la toute dernière concrétisation du projet et de la conquête du pouvoir dans 35 jours » est arrivée.
Faisant allusion au recours déposé par Thierno Alassane Sall contre la candidature de Karim Wade, Monsieur Ndiaye a fait part de son incompréhension sur cette affaire. Et le chargé de communication de l’ex-Pastef de s’interroger : c’est quand même incompréhensible qu’un candidat de l’opposition puisse tenter de faire éliminer un autre candidat du même camp ?
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