Depuis le décès du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly début juillet, le RHDP n’a pas chômé dans sa volonté de pousser son chef Alassane Ouattara à se représenter. Il y a une semaine, à la demande du directeur exécutif du parti Adama Bictogo, les élus se sont retrouvés à Abidjan, chacun faisant sa profession de foi pour un maintien du président sortant à la tête du pays.
Le week-end suivant, le ministre de la Défense et Premier ministre par intérim Hamed Bakayoko qui a également appelé le chef de l’Etat à entrer dans la course, avant qu’une cérémonie des femmes du RHDP conduite par la ministre de l’Education nationale Kandia Camara ne fasse de même au palais de la Culture de Treichville.
Ce mercredi après-midi, c’est un conseil politique réunissant tous les étiquetés RHDP, de même ampleur que celui qui a désigné feu Amadou Gon Coulibaly candidat en mars dernier, qui doit déterminer son nouveau ou sa nouvelle challenger. Une réunion cruciale dirigée par le président lui-même, assure à l’AFP le porte-parole Mamadou Touré.
Le RHDP dans une « situation exceptionnelle »
Selon nos informations, les représentants du parti pourraient demander, d’une seule voix, à leur meneur d’accepter de présenter sa candidature à l’élection présidentielle. Si les ténors de la formation politique invoquent l’intérêt supérieur de la nation pour justifier leur choix, il s’agit surtout de sauver le navire RHDP, en zone de turbulences depuis la disparition de Gon Coulibaly.
« Nous sommes dans une situation exceptionnelle », rappelait mardi à l’AFP le porte-parole Mamadou Touré, pour qui le président sortant reste « la personnalité idoine pour maintenir la cohésion et la dynamique du parti ».
On ignore quand l’annonce officielle sera rendue. On ne sait d’ailleurs toujours pas si Alassane Ouattara répondra à l’appel du pied de ses proches collaborateurs. S’il refuse, qui pour porter le drapeau du RHDP ? La question pourrait encore alimenter les débats pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines.
Le week-end suivant, le ministre de la Défense et Premier ministre par intérim Hamed Bakayoko qui a également appelé le chef de l’Etat à entrer dans la course, avant qu’une cérémonie des femmes du RHDP conduite par la ministre de l’Education nationale Kandia Camara ne fasse de même au palais de la Culture de Treichville.
Ce mercredi après-midi, c’est un conseil politique réunissant tous les étiquetés RHDP, de même ampleur que celui qui a désigné feu Amadou Gon Coulibaly candidat en mars dernier, qui doit déterminer son nouveau ou sa nouvelle challenger. Une réunion cruciale dirigée par le président lui-même, assure à l’AFP le porte-parole Mamadou Touré.
Le RHDP dans une « situation exceptionnelle »
Selon nos informations, les représentants du parti pourraient demander, d’une seule voix, à leur meneur d’accepter de présenter sa candidature à l’élection présidentielle. Si les ténors de la formation politique invoquent l’intérêt supérieur de la nation pour justifier leur choix, il s’agit surtout de sauver le navire RHDP, en zone de turbulences depuis la disparition de Gon Coulibaly.
« Nous sommes dans une situation exceptionnelle », rappelait mardi à l’AFP le porte-parole Mamadou Touré, pour qui le président sortant reste « la personnalité idoine pour maintenir la cohésion et la dynamique du parti ».
On ignore quand l’annonce officielle sera rendue. On ne sait d’ailleurs toujours pas si Alassane Ouattara répondra à l’appel du pied de ses proches collaborateurs. S’il refuse, qui pour porter le drapeau du RHDP ? La question pourrait encore alimenter les débats pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines.