C'est un coup de tonnerre dans la vie politique iranienne. Si la disqualification de l'ancien président Mahmoud Ahmadinejad était attendue, en revanche celle du conservateur modéré Ali Larijani, proche de l'actuel président, et du réformateur Es-Hagh Jahanguiri est une surprise de taille.
En effet Ali Larijani, qui a été président du Parlement pendant douze ans, est actuellement conseiller du guide suprême iranien.
En tout cas, le Conseil des Gardiens de la constitution a retenu les noms de sept personnes, cinq conservateurs, dont l'actuel chef de la Justice, Ebrahim Raissi, et deux modérés pas très connus des électeurs.
Désormais, la voie est ouverte pour Ebrahim Raissi, un religieux proche du guide suprême iranien. L'actuel chef de la Justice a donc toutes les chances de succéder à Hassan Rohani. Il avait été battu il y a quatre ans par l'actuel président.
Ebrahim Raïssi se présente comme l’adversaire de la corruption et le défenseur des classes pauvres.
Le rejet des candidats modérés et réformateurs pourrait affecter la participation. Selon plusieurs sondages, l'abstention pourrait dépasser les 50%.
En effet Ali Larijani, qui a été président du Parlement pendant douze ans, est actuellement conseiller du guide suprême iranien.
En tout cas, le Conseil des Gardiens de la constitution a retenu les noms de sept personnes, cinq conservateurs, dont l'actuel chef de la Justice, Ebrahim Raissi, et deux modérés pas très connus des électeurs.
Désormais, la voie est ouverte pour Ebrahim Raissi, un religieux proche du guide suprême iranien. L'actuel chef de la Justice a donc toutes les chances de succéder à Hassan Rohani. Il avait été battu il y a quatre ans par l'actuel président.
Ebrahim Raïssi se présente comme l’adversaire de la corruption et le défenseur des classes pauvres.
Le rejet des candidats modérés et réformateurs pourrait affecter la participation. Selon plusieurs sondages, l'abstention pourrait dépasser les 50%.