L’UE a jugé "que tout se passe bien en Côte d’Ivoire donc nous n’avons pas besoin d’envoyer des observateurs" en Côte d’Ivoire, s’est félicité M. Ouattara, ajoutant que "tout le monde dit déjà qu’elle (l’élection) est démocratique (et) transparente", lors de son dernier meeting marquant la fin d'une visite d'Etat de deux jours dans la région du Sud-Comoé.
Cette décision de l’institution internationale "est un témoignage de la qualité de l’organisation de l’élection" présidentielle prévue le 25 octobre, a affirmé le chef de l’Etat, assurant que le scrutin "sera apaisé".
Une Coalition l’opposition ivoirienne, estimant que les conditions d’une présidentielle transparente ne sont pas réunies, demande entre autres la mise en place d’une commission électorale équilibrée, l’adoption d’un code électoral consensuel, l’établissement d’une liste électorale consensuelle et menace d’empêcher le scrutin tant que leurs revendications ne seront pas prises en compte par le gouvernement.