Le palais de Buckingham aurait peut-être dû y réfléchir à deux fois avant d'annoncer publiquement que le prince Harry était retourné en Afghanistan tout en révélant également sa localisation précise. Une publicité d'ailleurs d'autant plus étonnante que la dernière fois que le petit frère de William avait été rappelé d'Afghanistan, c'était justement parce que sa sécurité avait été compromise par certains médias ayant révélé sa position.
Le ministère de la Défense a justifié ce choix de transparence en expliquant que cette fois, le prince Harry faisait partie d'une unité aérienne et qu'il risquait moins qu'en étant soldat au sol (merci les formations de pilotage d'hélicoptère Apache à Las Vegas). Rien à voir officiellement, donc, avec une éventuelle envie d'enterrer une certaine affaire de strip-billard dans la ville du vice en rappelant que le prince Harry est soldat courageux. Cela n'a pourtant pas empêché le troisième dans l'ordre de succession au trône d'Angleterre d'être rapidement la cible de menaces de la part des talibans.
Quelques heures seulement après son arrivée en Afghanistan, en effet, Harry faisait déjà l'objet de menaces en ligne, sur des sites extrémistes, rapporte "Le Figaro". Le site Internet "Shumuck al-Islam", notamment, a publié ce message très violent : "Inch'Allah, son hélicoptère sera détruit et il sera rendu à la vieille reine dans un cercueil noir".
De son côté, un porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid, a affirmé à l'AFP : "Nous allons faire de notre mieux pour tuer le prince Harry et les autres membres des forces britanniques basés à Helmand (un des fiefs des insurgés au sud de l'Afghanistan, ndlr)". "Nous ne cherchons pas à le kidnapper, mais à le tuer", a précisé Mr Mujahid, avant d'ajouter qu'un "plan très important" avait été mis en place pour attaquer le petit-fils d'Elizabeth II, alias le Capitaine Wales, quand il est en service.
Si le prince Harry n'a pas été rapatrié pour l'instant, il a toutefois été placé sous la protection de gardes du corps. Sa mission est censée se terminer à Noël, avant que le prince ne soit renvoyé sur le terrain en 2014 pour le retrait des troupes britanniques d'Afghanistan. Pour se rassurer, le petit frère de William, qui fêtera ses 28 ans samedi, peut se rabattre sur les statistiques : pour l'instant, les talibans n'ont pas réussi à détruire un hélicoptère Apache. Sans compter que, cette fois, Carrie Reichert ET le strip-billard semblent être tombés complètement aux oubliettes.
Chloé Chateau (Closer.fr)
Le ministère de la Défense a justifié ce choix de transparence en expliquant que cette fois, le prince Harry faisait partie d'une unité aérienne et qu'il risquait moins qu'en étant soldat au sol (merci les formations de pilotage d'hélicoptère Apache à Las Vegas). Rien à voir officiellement, donc, avec une éventuelle envie d'enterrer une certaine affaire de strip-billard dans la ville du vice en rappelant que le prince Harry est soldat courageux. Cela n'a pourtant pas empêché le troisième dans l'ordre de succession au trône d'Angleterre d'être rapidement la cible de menaces de la part des talibans.
Quelques heures seulement après son arrivée en Afghanistan, en effet, Harry faisait déjà l'objet de menaces en ligne, sur des sites extrémistes, rapporte "Le Figaro". Le site Internet "Shumuck al-Islam", notamment, a publié ce message très violent : "Inch'Allah, son hélicoptère sera détruit et il sera rendu à la vieille reine dans un cercueil noir".
De son côté, un porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid, a affirmé à l'AFP : "Nous allons faire de notre mieux pour tuer le prince Harry et les autres membres des forces britanniques basés à Helmand (un des fiefs des insurgés au sud de l'Afghanistan, ndlr)". "Nous ne cherchons pas à le kidnapper, mais à le tuer", a précisé Mr Mujahid, avant d'ajouter qu'un "plan très important" avait été mis en place pour attaquer le petit-fils d'Elizabeth II, alias le Capitaine Wales, quand il est en service.
Si le prince Harry n'a pas été rapatrié pour l'instant, il a toutefois été placé sous la protection de gardes du corps. Sa mission est censée se terminer à Noël, avant que le prince ne soit renvoyé sur le terrain en 2014 pour le retrait des troupes britanniques d'Afghanistan. Pour se rassurer, le petit frère de William, qui fêtera ses 28 ans samedi, peut se rabattre sur les statistiques : pour l'instant, les talibans n'ont pas réussi à détruire un hélicoptère Apache. Sans compter que, cette fois, Carrie Reichert ET le strip-billard semblent être tombés complètement aux oubliettes.
Chloé Chateau (Closer.fr)