Le président Abdou Diouf a procédé hier, à la remise du prix des Cinq continents de la Francophonie. La cérémonie s’est passée dans la grande salle du Grand théâtre national du Sénégal. Le lauréat 2014, l'Algérien, Kamel Daoud a reçu le prix des mains du secrétaire général de la Francophonie, M. Abdou Diouf.
Les intervenants n'ont pas fait dans les détails en revenant sur l’œuvre de cet homme qui a dirigé la Francophonie pendant 12 ans.
« Vous avez notre affection, le Sénégal ne vous a pas oublié, la Francophonie ne le fera pas nos plus » dira l’un d’eux. « Avec son livre, vous allez lire l’étranger d’Albert Camus sur un autre angle » lance le présentateur. En effet, c’est un hommage en forme de contrepoint rendu à L’Étranger d’Albert Camus, « Meursault, contre-enquête » joue des faux-semblants pour évoquer la question de l’identité et de la complexité des héritages dans l’Algérie contemporaine.
« Ce livre s’est transformé en un voyage fabuleux pour moi. La langue ne divise pas le monde, il aide à le partager. La langue française est un partage », lance L’auteur du livre. C’est la première fois que ce prix revient à un auteur publié par une maison d’édition africaine. Le Rapport 2014 de la Francophonie a été présenté au public de la salle à majorité jeune. Ainsi, il en est-il que la majorité des adeptes du français est en Afrique. « L’avenir du français est en Afrique en particulier avec les jeunes. Cette langue est porteuse d’avenir et les tendances le démontrent » commente le présentateur.
Les intervenants n'ont pas fait dans les détails en revenant sur l’œuvre de cet homme qui a dirigé la Francophonie pendant 12 ans.
« Vous avez notre affection, le Sénégal ne vous a pas oublié, la Francophonie ne le fera pas nos plus » dira l’un d’eux. « Avec son livre, vous allez lire l’étranger d’Albert Camus sur un autre angle » lance le présentateur. En effet, c’est un hommage en forme de contrepoint rendu à L’Étranger d’Albert Camus, « Meursault, contre-enquête » joue des faux-semblants pour évoquer la question de l’identité et de la complexité des héritages dans l’Algérie contemporaine.
« Ce livre s’est transformé en un voyage fabuleux pour moi. La langue ne divise pas le monde, il aide à le partager. La langue française est un partage », lance L’auteur du livre. C’est la première fois que ce prix revient à un auteur publié par une maison d’édition africaine. Le Rapport 2014 de la Francophonie a été présenté au public de la salle à majorité jeune. Ainsi, il en est-il que la majorité des adeptes du français est en Afrique. « L’avenir du français est en Afrique en particulier avec les jeunes. Cette langue est porteuse d’avenir et les tendances le démontrent » commente le présentateur.