Une occasion pour les experts de revisiter les outils de planification des investissements du domaine de l’assainissement que constitue le plan directeur. « 800.000 Euros soit 440 milliards francs CFA financé par la banque européenne d’investissement (BEI) dont 14 milliards pour les ouvrages d’eaux pluviales. Le reste est réservé aux réalisations d’eaux usées. Cela, avec comme seul et unique objectif visé, l’amélioration durable du cadre de vie des populations de Dakar avec une réduction drastique des risques sur la santé à l’horizon 2020» a dit Omar Guèye, le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement».
Selon le ministre de l’hydraulique et assainissement, le problème est dû à la forte urbanisation dans les zones de terres basses. L’imperméabilisation des espaces urbains qui augmente le ruissellement des eaux de pluie. L’habitation irrégulière qui constitue une contrainte majeure à la mise en place de voiries et de systèmes adéquates de drainage des eaux de pluie. Et la pression foncière dans certaines zones et l’absence de réseau de drainage des eaux pluviales dans certaines zones.
«La réalisation de ce projet permettra de doter la ville de Dakar d’un outil de planification. Elle décline les grandes orientations stratégiques d’assainissement liquides à moyen et à long terme. Le projet servira ainsi de cadre technique et institutionnel pour les acteurs qui œuvrent autour des problèmes liés à la gestion des eaux usées et pluviales».
Par ailleurs, le ministre a souligné que «Le problème des eaux usées en milieu urbain est confronté à la vétusté du réseau dans les quartiers de Gueule Tapée, Fass, Colobane, Gilbraltar et Médina qui ont entre 40 et 60 ans, et aussi à la saturation des ouvrages et équipements.
«La modification du plan d’urbanisme de Dakar qui impacte sur la gestion des eaux pluviales et des eaux usées, qui est l’un des facteurs. Mais également du fait d’un accroissement démographique favorisant une extension non maîtrisée du territoire de Dakar » a dit Amadou Lamine Dieng, directeur général de l’ONAS. Il poursuit : « C’est l’occasion d’échanger sur les directives raisonnables et appropriées à mettre en place pour l’amélioration des infrastructures de l’environnement urbain afin de faire le meilleur choix d’un plan directeur d’assainissement pour les prochaines années».
Avec Sudonline
Selon le ministre de l’hydraulique et assainissement, le problème est dû à la forte urbanisation dans les zones de terres basses. L’imperméabilisation des espaces urbains qui augmente le ruissellement des eaux de pluie. L’habitation irrégulière qui constitue une contrainte majeure à la mise en place de voiries et de systèmes adéquates de drainage des eaux de pluie. Et la pression foncière dans certaines zones et l’absence de réseau de drainage des eaux pluviales dans certaines zones.
«La réalisation de ce projet permettra de doter la ville de Dakar d’un outil de planification. Elle décline les grandes orientations stratégiques d’assainissement liquides à moyen et à long terme. Le projet servira ainsi de cadre technique et institutionnel pour les acteurs qui œuvrent autour des problèmes liés à la gestion des eaux usées et pluviales».
Par ailleurs, le ministre a souligné que «Le problème des eaux usées en milieu urbain est confronté à la vétusté du réseau dans les quartiers de Gueule Tapée, Fass, Colobane, Gilbraltar et Médina qui ont entre 40 et 60 ans, et aussi à la saturation des ouvrages et équipements.
«La modification du plan d’urbanisme de Dakar qui impacte sur la gestion des eaux pluviales et des eaux usées, qui est l’un des facteurs. Mais également du fait d’un accroissement démographique favorisant une extension non maîtrisée du territoire de Dakar » a dit Amadou Lamine Dieng, directeur général de l’ONAS. Il poursuit : « C’est l’occasion d’échanger sur les directives raisonnables et appropriées à mettre en place pour l’amélioration des infrastructures de l’environnement urbain afin de faire le meilleur choix d’un plan directeur d’assainissement pour les prochaines années».
Avec Sudonline