Le « persécuteur » de la chanteuse Aby Ndour, son comportement et ses actes qui lui ont valu une comparution pour violences et voies de fait et injures non publiques devant le Tribunal départemental ne semble pas être ceux d’un homme normal. Et cette remarque a été faite aussi bien par le juge que par le représentant du parquet qui constate : « je ne suis pas un sachant, mais son comportement laisse apparaître des troubles ».
Loin de partager ces remarques, Amadou Baba Kane plaide le contraire avec sa voix aiguë accompagnée d’un geste constamment répété de la main pour ajuster son costume. Très décontracté, il a plaidé coupable, non sans présenter les faits de façon banale. « Je suis un fan de la musique Aby Ndour ; c’est une histoire qui a mal tourné et je présente mes excuses ». Avant de poursuivre : Je suis meurtri, je n’arrive pas a faire correctement mon travail, je ne sais pas ce qui m’arrive », indique cet employer aux Industries chimiques du Sénégal (ICS).
Mais cet argumentaire ne convainc guère le parquet qui accuse le prévenu d’avoir importuné la plaignante. Le maitre des poursuites juge sa démarche «irresponsable et indigne ». Pour Mbaye Jacques Ndiaye, le prévenu n’est pas à son premier coup et est coutumier des faits.
Dans son réquisitoire, le procureur, dans les colonnes du journal « L’As », a demandé six mois avec sursis. Délibéré le 20 novembre.
Loin de partager ces remarques, Amadou Baba Kane plaide le contraire avec sa voix aiguë accompagnée d’un geste constamment répété de la main pour ajuster son costume. Très décontracté, il a plaidé coupable, non sans présenter les faits de façon banale. « Je suis un fan de la musique Aby Ndour ; c’est une histoire qui a mal tourné et je présente mes excuses ». Avant de poursuivre : Je suis meurtri, je n’arrive pas a faire correctement mon travail, je ne sais pas ce qui m’arrive », indique cet employer aux Industries chimiques du Sénégal (ICS).
Mais cet argumentaire ne convainc guère le parquet qui accuse le prévenu d’avoir importuné la plaignante. Le maitre des poursuites juge sa démarche «irresponsable et indigne ». Pour Mbaye Jacques Ndiaye, le prévenu n’est pas à son premier coup et est coutumier des faits.
Dans son réquisitoire, le procureur, dans les colonnes du journal « L’As », a demandé six mois avec sursis. Délibéré le 20 novembre.