La rencontre entre les groupes armés du Nord et le président malien Ibrahim Boubacar Keïta entouré de membres de son gouvernement a débouché sur des décisions importantes.
Ainsi, un forum pour la paix et la réconciliation au Mali se tiendra à Kidal du 27 au 30 mars prochains. La ville est aux mains des groupes armés mais des représentants de l’Etat devraient assister à ces rencontres.
Autre décision importante : sur les deux prochains mois, gouvernement malien et groupes armés ont fixé un chronogramme pour poser des actes allant dans le sens du renforcement de la paix. Parmi ces initiatives, il y a notamment la mise en place des autorités intérimaires et d’un dispositif de sécurité commun dans le Nord. Toutes les parties auront leur place dans le nouveau dispositif.
Autre initiative, « la concrétisation urgente du cantonnement des combattants » et le lancement du processus de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, DDR.
Pour les participants à la rencontre -gouvernement malien et groupes armés- et la classe politique malienne, quelque chose se dessine nettement. Sans renier les accords signés sous l’égide de la communauté internationale, les Maliens veulent désormais discuter directement entre eux.
Source: Rfi.fr
Ainsi, un forum pour la paix et la réconciliation au Mali se tiendra à Kidal du 27 au 30 mars prochains. La ville est aux mains des groupes armés mais des représentants de l’Etat devraient assister à ces rencontres.
Autre décision importante : sur les deux prochains mois, gouvernement malien et groupes armés ont fixé un chronogramme pour poser des actes allant dans le sens du renforcement de la paix. Parmi ces initiatives, il y a notamment la mise en place des autorités intérimaires et d’un dispositif de sécurité commun dans le Nord. Toutes les parties auront leur place dans le nouveau dispositif.
Autre initiative, « la concrétisation urgente du cantonnement des combattants » et le lancement du processus de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, DDR.
Pour les participants à la rencontre -gouvernement malien et groupes armés- et la classe politique malienne, quelque chose se dessine nettement. Sans renier les accords signés sous l’égide de la communauté internationale, les Maliens veulent désormais discuter directement entre eux.
Source: Rfi.fr
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