Mamadou Ndiaye, coordonnateur de l’association des unions maraîchères des Niayes ne voit pas d’un bon œil cette abondance de production. Car, confie-t-il, elle « risque d’influer sur les prix du marché ». D’après monsieur Ndiaye, le constat est qu’aujourd’hui les prix dans les marchés sont en train de baisser. « Les prix tournent autour de 400 francs le kilogramme. Chacun veut vendre à 400 francs le Kg. Ce qui fait que les producteurs vont retrouver sur le marché une quantité supérieure à la demande. La loi du marché va commander et les producteurs vont vendre moins cher » a jouté monsieur Ndiaye au bout du fil.
Dès lors, ajoute monsieur Ndiaye : « c’est la perte de revenue ». D’après lui, cette situation qui se profile (la baisse drastique des prix) est du fait que les producteurs ne sont pas organisés. « Si on était organisé, le rythme de maturité. On va pouvoir approvisionner le marché correctement. Donc la demande va être conforme à l’offre. En ce moment, les prix vont être stables », a-t-il reconnu.
Par ailleurs, Adama Ndiaye, président de l’association des producteurs de maraîchers de Lompoul déplore cette situation qui pointe à l’horizon. Monsieur Ndiaye reste du même avis que Mamadou Ndiaye. Pour lui, cette situation constatée par son collègue de Mboro reste valable à Lompoul. Joint par téléphone, Adama Ndiaye de confier, « actuellement, le sac de 25 kilogramme coûte dix mille francs CFA sur le marché. Et on s’attend à ce qu’il chute entre huit mille francs CFA et six mille francs CFA». Une situation qui n’arrangerait pas les producteurs. Et elle est du fait que l’offre reste supérieure à la demande, en ce moment.
Les solutions prônées par les deux présidents d’association est d’organiser davantage la filière oignon. « Et aujourd’hui, l’agence de régulation au plan national doit veiller à ce que les marchés ne soient pas inonder par l’oignon importé. Il faut essayer d’avoir une maîtrise sur la demande une maîtrise sur l’offre. En fonction de ses deux facteurs, voir comment stabiliser le prix », ont-ils conclu.
Dès lors, ajoute monsieur Ndiaye : « c’est la perte de revenue ». D’après lui, cette situation qui se profile (la baisse drastique des prix) est du fait que les producteurs ne sont pas organisés. « Si on était organisé, le rythme de maturité. On va pouvoir approvisionner le marché correctement. Donc la demande va être conforme à l’offre. En ce moment, les prix vont être stables », a-t-il reconnu.
Par ailleurs, Adama Ndiaye, président de l’association des producteurs de maraîchers de Lompoul déplore cette situation qui pointe à l’horizon. Monsieur Ndiaye reste du même avis que Mamadou Ndiaye. Pour lui, cette situation constatée par son collègue de Mboro reste valable à Lompoul. Joint par téléphone, Adama Ndiaye de confier, « actuellement, le sac de 25 kilogramme coûte dix mille francs CFA sur le marché. Et on s’attend à ce qu’il chute entre huit mille francs CFA et six mille francs CFA». Une situation qui n’arrangerait pas les producteurs. Et elle est du fait que l’offre reste supérieure à la demande, en ce moment.
Les solutions prônées par les deux présidents d’association est d’organiser davantage la filière oignon. « Et aujourd’hui, l’agence de régulation au plan national doit veiller à ce que les marchés ne soient pas inonder par l’oignon importé. Il faut essayer d’avoir une maîtrise sur la demande une maîtrise sur l’offre. En fonction de ses deux facteurs, voir comment stabiliser le prix », ont-ils conclu.
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