Le Conseil pour l’observation des règles d’éthique et déontologie dans les médias n’approuvent guère le traitement fait par certains organes de la question de la menace terroriste et des tombes profanées. Concernant le second point à savoir le traitement de l’information sur la profanation de certaines tombes aux cimetières de Pikine, le Cored rappelle aux professionnels des médias notamment les journalistes d’avoir comme viatique l’éthique et la déontologie dans de pareil cas.
Pour le président du Cored, le journaliste Bacary Domingo Mané « Tout n’est pas bon à montrer, c’est pourquoi, j’attire l’attention des confrères sur cette situation des tombes profanées, car on ne pas se permettre de tout étaler sur la place publique, notamment à exhiber des linceuls de morts, par conséquent, je les invite à plus de responsabilité, c'est-à-dire à l’éthique et à la déontologie, car la recherche du sensationnelle nuit gravement à la bonne réputation de la profession de journaliste », a déclaré Mr . Mané.
Concernant le traitement de la question du terrorisme, le chargé de communication du Cored, le journaliste Mamadou Thior de la Rts, souligne qu’il s’agit là d’une question de sécurité nationale et qu’il ya la vie de 13 millions de sénégalais à protéger face à un ennemi invisible, donc, il invite les confrères à se garder de faire un matraquage médiatique comme c’est le cas présentement. Toujours dans son réquisitoire, Mamadou Thior, appelle les professionnels des médias à faire très attention sur les termes usités pour ne pas attirer les terroristes, parce que reconnait le chargé de communication du Cored, les questions de terrorismes sont des thématiques qu’il faut savoir bien aborder, pour ne pas créer les conditions d’une panique générale », conclut Mamadou Thior.
Le Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias s’est réuni aujourd’hui pour se pencher sur des plaintes déposées par des particuliers contre certains organes de presse. A l’ordre du jour, huit (8) cas ont été vidés, les trois concernés le Groupe Futurs médias, les trois autres le site d’information Xibaru et enfin les deux dernières affaires restantes visées le journal Libération et le Quotidien du groupe avenir communication. S’agissant de ces affaires, le tribunal des pairs a donné des avertissements et des blâmes aux fautifs, mais surtout conclu dans certaines affaires que les confrères et consœurs n’ont pas commis de fautes dans l’exercice de leur métier. Ainsi le Cored s’est félicité du bon comportement des journalistes.
Pour le président du Cored, le journaliste Bacary Domingo Mané « Tout n’est pas bon à montrer, c’est pourquoi, j’attire l’attention des confrères sur cette situation des tombes profanées, car on ne pas se permettre de tout étaler sur la place publique, notamment à exhiber des linceuls de morts, par conséquent, je les invite à plus de responsabilité, c'est-à-dire à l’éthique et à la déontologie, car la recherche du sensationnelle nuit gravement à la bonne réputation de la profession de journaliste », a déclaré Mr . Mané.
Concernant le traitement de la question du terrorisme, le chargé de communication du Cored, le journaliste Mamadou Thior de la Rts, souligne qu’il s’agit là d’une question de sécurité nationale et qu’il ya la vie de 13 millions de sénégalais à protéger face à un ennemi invisible, donc, il invite les confrères à se garder de faire un matraquage médiatique comme c’est le cas présentement. Toujours dans son réquisitoire, Mamadou Thior, appelle les professionnels des médias à faire très attention sur les termes usités pour ne pas attirer les terroristes, parce que reconnait le chargé de communication du Cored, les questions de terrorismes sont des thématiques qu’il faut savoir bien aborder, pour ne pas créer les conditions d’une panique générale », conclut Mamadou Thior.
Le Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias s’est réuni aujourd’hui pour se pencher sur des plaintes déposées par des particuliers contre certains organes de presse. A l’ordre du jour, huit (8) cas ont été vidés, les trois concernés le Groupe Futurs médias, les trois autres le site d’information Xibaru et enfin les deux dernières affaires restantes visées le journal Libération et le Quotidien du groupe avenir communication. S’agissant de ces affaires, le tribunal des pairs a donné des avertissements et des blâmes aux fautifs, mais surtout conclu dans certaines affaires que les confrères et consœurs n’ont pas commis de fautes dans l’exercice de leur métier. Ainsi le Cored s’est félicité du bon comportement des journalistes.