«Le dialogue est un appel au secours du Président Macky Sall qui souffre d’un problème de légitimité », C’est du moins la conviction du professeur Malick Ndiaye. L’universitaire estime que le président Macky Sall a peur d'un dialogue franc : «Le chef de l’Etat n’a qu'à s’en prendre à lui-même. Parce qu’il n’écoute personne, il ne sait pas dialoguer, il à peur du dialogue, il a peur de la vérité. Macky Sall est en train d’appeler au secours ses anciens amis notamment les libéraux. C’est pour cela que Macky Sall s’est mordu les doigts et la langue. Aujourd’hui l’évolution de la situation montre que 75% de l’électoral actif lui a tourné le dos. Ceux qui croient au dialogue de Macky sont sans doute comme lui. Ils ont des calculs bizarres », a-t-i déclaré
Pousuivant, le Pr Ndiaye martèle : «Plus grave encore, il s’ouffre aujourd’hui, d'une crise de légitimité dans la mesure où la Constitution de Senghor avait recueilli l’unanimité. Celle du Président Abdou Diouf et de Wade, la même chose. Macky a été désavoué. Cela ouvre une crise de légitimité du régime c’est du jamais vu. Dans ces conditions-là, les patriotes, les intellectuels, ceux qui sont restés encore des révolutionnaires mais conscients, préparent la refondation d’une république qui a montré ses caractères maçonnique ‘’goor djiguène’’ ».
Et au finish, l’universitaire s’en est pris au ministre de l’Intérieur en affrimant que nous sommes dans: « Une République qui, au lieu de s’occuper des revendications du CUSEMS du SAES, se permet de dépenser des milliards de F CFA pour aider des voix; et dont le ministre de l’intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo a montré le caractère faux, réactionnaire ».
Pousuivant, le Pr Ndiaye martèle : «Plus grave encore, il s’ouffre aujourd’hui, d'une crise de légitimité dans la mesure où la Constitution de Senghor avait recueilli l’unanimité. Celle du Président Abdou Diouf et de Wade, la même chose. Macky a été désavoué. Cela ouvre une crise de légitimité du régime c’est du jamais vu. Dans ces conditions-là, les patriotes, les intellectuels, ceux qui sont restés encore des révolutionnaires mais conscients, préparent la refondation d’une république qui a montré ses caractères maçonnique ‘’goor djiguène’’ ».
Et au finish, l’universitaire s’en est pris au ministre de l’Intérieur en affrimant que nous sommes dans: « Une République qui, au lieu de s’occuper des revendications du CUSEMS du SAES, se permet de dépenser des milliards de F CFA pour aider des voix; et dont le ministre de l’intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo a montré le caractère faux, réactionnaire ».