A l’occasion du Congrès de l'Association Africaine du Commerce des Semences (AFSTA) qui se tient à Dakar du 28 février au 3 mars à Dakar, Syngenta présente les résultats et les enseignements tirés de son partenariat avec l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) afin de contribuer à renforcer la sécurité alimentaire et les moyens d'existence de l'agriculture au Sénégal.
Début 2016, Syngenta a lancé le projet APRON®Star, dans le cadre de son engagement en faveur d'une agriculture durable, en partenariat avec l’USAID et l’AGRA. «L’objectif est d’accroître la sensibilisation et l'accès à la technologie et à la formation en matière de traitement des semences. Ce projet de deux (2) ans, a déjà touché plus de 15 000 agriculteurs, dont un tiers de femmes, et a enregistré une hausse des rendements de 35 % en moyenne», lit-on dans le document parvenu à Pressafrik.com
«Le projet APRON®Star au Sénégal a parrainé le développement d'un centre d'excellence de traitement de semences à Matam et a permis d'obtenir de fortes augmentations des rendements dans les cultures clés: millet perlé (1,2 t/ha + 40 %), du sorgho (1,1 t/ha + 86 %), du maïs (2,7 t/ha + 101 %), du riz irrigué (9,4 t/ha + 11 %), et du riz pluvial (2 t/ha + 33 %) », se félicite Syngenta.
Les réalisations de la première année du projet APRON®Star au Sénégal sont l'un des axes d’intervention de Syngenta au congrès de 2017 de l’Association Africaine du Commerce des Semences(AFSTA) qui a lieu cette semaine à Dakar, au Sénégal.
«La hausse des prix des denrées alimentaires est une question centrale au Sénégal car il est l'un des principaux importateurs mondiaux de produits alimentaires. Selon le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies 50 % de la population sénégalaise se trouve en situation d’insécurité alimentaire. De petits exploitants agricoles au Sénégal sont confrontés à des sécheresses et à des inondations périodiques qui ont entrainé la dégradation et l’érosion des sols. Tout ceci rend difficile la satisfaction de la demande en produits alimentaires et la sauvegarde des moyens de subsistance de la population sénégalaise. Un meilleur accès à des semences et intrants de qualité, et des technologies complémentaires telles que le traitement des semences, est considéré comme un élément essentiel pour l’augmentation de la productivité des petits exploitants agricoles et pour améliorer les moyens de subsistance des communautés rurales au Sénégal», poursuit le document.
Début 2016, Syngenta a lancé le projet APRON®Star, dans le cadre de son engagement en faveur d'une agriculture durable, en partenariat avec l’USAID et l’AGRA. «L’objectif est d’accroître la sensibilisation et l'accès à la technologie et à la formation en matière de traitement des semences. Ce projet de deux (2) ans, a déjà touché plus de 15 000 agriculteurs, dont un tiers de femmes, et a enregistré une hausse des rendements de 35 % en moyenne», lit-on dans le document parvenu à Pressafrik.com
«Le projet APRON®Star au Sénégal a parrainé le développement d'un centre d'excellence de traitement de semences à Matam et a permis d'obtenir de fortes augmentations des rendements dans les cultures clés: millet perlé (1,2 t/ha + 40 %), du sorgho (1,1 t/ha + 86 %), du maïs (2,7 t/ha + 101 %), du riz irrigué (9,4 t/ha + 11 %), et du riz pluvial (2 t/ha + 33 %) », se félicite Syngenta.
Les réalisations de la première année du projet APRON®Star au Sénégal sont l'un des axes d’intervention de Syngenta au congrès de 2017 de l’Association Africaine du Commerce des Semences(AFSTA) qui a lieu cette semaine à Dakar, au Sénégal.
«La hausse des prix des denrées alimentaires est une question centrale au Sénégal car il est l'un des principaux importateurs mondiaux de produits alimentaires. Selon le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies 50 % de la population sénégalaise se trouve en situation d’insécurité alimentaire. De petits exploitants agricoles au Sénégal sont confrontés à des sécheresses et à des inondations périodiques qui ont entrainé la dégradation et l’érosion des sols. Tout ceci rend difficile la satisfaction de la demande en produits alimentaires et la sauvegarde des moyens de subsistance de la population sénégalaise. Un meilleur accès à des semences et intrants de qualité, et des technologies complémentaires telles que le traitement des semences, est considéré comme un élément essentiel pour l’augmentation de la productivité des petits exploitants agricoles et pour améliorer les moyens de subsistance des communautés rurales au Sénégal», poursuit le document.