Une nébuleuse de plus cette fois-ci autour du projet de Tramway à Dakar autour de la disparition de 825 millions pour les besoins de l’étude de faisabilité débloqués sous Wade en 2011 plus précisément à l’époque où Habib Sy et Nafi Diouf Ngom étaient ministres des transports.
En effet, le PDG du groupe Inekon, Joseph Husek qui s’est signalé au président Sall sur le projet depuis le 10 mai dernier, a rappelé à travers une correspondance les différentes évolutions du dossier et le rôle joué par ces deux ministres, selon le journal « L’Observateur » qui souligne que « la somme de 825 millions votée à l’Assemblée nationale et l’ex-Sénat pour l’étude de faisabilité du Tramway de Dakar sont introuvables ».
Et ce, alors que « l’argent a été libéré et versé au Trésor public dans les Comptes du Conseil Exécutif des Transports Urbains de Dakar (CETUD) », poursuivent nos confrères qui précisent que « la première tranche de 400 millions de F CFA a été versé en 2008 » au moment où Habib Sy en charge le ministère des transports » et qui avait « inscrit le financement au titre 5 ».
« Un procédé » qui selon des sources proches de la comptabilité publique, « bloque le retrait de l’argent » à la société Inekon enfonce la source qui fait état de la libération de 425 autres millions versés cette fois-ci en 2011 sous le règne de Nafy Diouf Ngom, ministre des infrastructures que « le groupe tchèque » n’a toujours « pas vu la couleur ».
En effet, le PDG du groupe Inekon, Joseph Husek qui s’est signalé au président Sall sur le projet depuis le 10 mai dernier, a rappelé à travers une correspondance les différentes évolutions du dossier et le rôle joué par ces deux ministres, selon le journal « L’Observateur » qui souligne que « la somme de 825 millions votée à l’Assemblée nationale et l’ex-Sénat pour l’étude de faisabilité du Tramway de Dakar sont introuvables ».
Et ce, alors que « l’argent a été libéré et versé au Trésor public dans les Comptes du Conseil Exécutif des Transports Urbains de Dakar (CETUD) », poursuivent nos confrères qui précisent que « la première tranche de 400 millions de F CFA a été versé en 2008 » au moment où Habib Sy en charge le ministère des transports » et qui avait « inscrit le financement au titre 5 ».
« Un procédé » qui selon des sources proches de la comptabilité publique, « bloque le retrait de l’argent » à la société Inekon enfonce la source qui fait état de la libération de 425 autres millions versés cette fois-ci en 2011 sous le règne de Nafy Diouf Ngom, ministre des infrastructures que « le groupe tchèque » n’a toujours « pas vu la couleur ».