Le Président de l’union des magistrats du Sénégal est d’abord revenu sur les relations entre la presse et la justice. Abdoulaye Bâ constate que la presse accuse souvent la justice son manque de communication et d’ouverture là où les juges accusent les journalistes de ne pas aller souvent à la bonne source en matière de choses judiciaires. Et toute la différence réside dans le fait que selon le Président de l’UMS « la presse travaille dans l’immédiateté et la justice rend ses décisions dans la sérénité, les deux temps sont différents ».
Sur le prochain code de la presse du Sénégal, Abdoulaye Bâ qui était dans le grand jury de la RFM, se pose des questions sur la dépénalisation des délits de presse « est-ce que dans un Etat de droit, on a le droit d’exclure une catégorie de citoyens, de les exclure de la sanction pénale ? Est-ce que ce n’est pas rompre l’équilibre des citoyens devant la loi ? ». Mais tout de même précise le Président de l’union des magistrats du Sénégal, « quelle que soit la loi qui va être adoptée, nous allons l’appliquer sans état d’âme ».
Revenant sur les rapports presse et justice, le Président de l’UMS considère que « ce sont les deux facettes d’une pièce et elles ont le mêmes objectif, la recherche de la vérité ».
Sur le prochain code de la presse du Sénégal, Abdoulaye Bâ qui était dans le grand jury de la RFM, se pose des questions sur la dépénalisation des délits de presse « est-ce que dans un Etat de droit, on a le droit d’exclure une catégorie de citoyens, de les exclure de la sanction pénale ? Est-ce que ce n’est pas rompre l’équilibre des citoyens devant la loi ? ». Mais tout de même précise le Président de l’union des magistrats du Sénégal, « quelle que soit la loi qui va être adoptée, nous allons l’appliquer sans état d’âme ».
Revenant sur les rapports presse et justice, le Président de l’UMS considère que « ce sont les deux facettes d’une pièce et elles ont le mêmes objectif, la recherche de la vérité ».