L’emploi des jeunes occupe une bonne place dans le projet de société du candidat déclaré à la présidentielle de 2012, Bruno Victor Louis D'Erneville. En effet, ce dernier qui estiment que «l’emploi des jeunes constitue l’essentiel des combats qu’il va falloir mener, promet de créer 900 Milles emplois en 7 ans, s’il est élu. «Mon projet de société, c’est véritablement de créer massivement des emplois. 900 Milles emplois que je propose en 7 ans à travers un certains nombres d’actions» a-t-il confié à nos confrères de la radio Sud Fm.
Convaincu que la question de l’emploi est un combat que l’on ne peut pas mener de manière isolée, le candidat à la présidentielle a fait savoir qu’il n’est pas «pour une option d’emploi des jeunes à travers l’embauche dans le secteur public. Parce ce dernier a ses limites». Et de proposer «à une bonne partie de la Diaspora de revenir. Je suis même, de ce point de vue, relativement modeste. Puisque je demande à ce que simplement 5% de cette Diaspora reviennent». Ce qui corresponde, dit-il, « à peu près à 100 000 personnes. Vous imaginez 100 000 personnes de la Diaspora qui reviennent, chacun créant 2 à 3 emplois, ce qui est, quand même, très aisé pour des gens qui reviennent de la Diaspora».
Bruno D'Erneville envisage également de créer «des emplois à travers les baisses de fiscalités sur les salaires dans le secteur moderne. C'est-à-dire aujourd’hui les entreprises sont asphyxiées par des charges élevées qui font qu’elles n’embauchent plus».
Convaincu que la question de l’emploi est un combat que l’on ne peut pas mener de manière isolée, le candidat à la présidentielle a fait savoir qu’il n’est pas «pour une option d’emploi des jeunes à travers l’embauche dans le secteur public. Parce ce dernier a ses limites». Et de proposer «à une bonne partie de la Diaspora de revenir. Je suis même, de ce point de vue, relativement modeste. Puisque je demande à ce que simplement 5% de cette Diaspora reviennent». Ce qui corresponde, dit-il, « à peu près à 100 000 personnes. Vous imaginez 100 000 personnes de la Diaspora qui reviennent, chacun créant 2 à 3 emplois, ce qui est, quand même, très aisé pour des gens qui reviennent de la Diaspora».
Bruno D'Erneville envisage également de créer «des emplois à travers les baisses de fiscalités sur les salaires dans le secteur moderne. C'est-à-dire aujourd’hui les entreprises sont asphyxiées par des charges élevées qui font qu’elles n’embauchent plus».