
Le projet Njiitu Jàmm organisé par la Fondation Internationale pour les Systèmes Electoraux (IFES) en collaboration avec des universités publiques du Sénégal a formé dans sa phase première, 180 étudiants soit 60 étudiants dans des universités publiques. C’était avant la présidentielle. Pour cette deuxième phase, ouverte ce matin et qui va se dérouler sur deux jours (25 et 26) elle sera axée sur le leadership adossé à l’éthique et à l’éducation civique pour permettre aux participants d’êtres des ambassadeurs de la paix dans leurs communautés.
Pour cette deuxième étape « 25 étudiants ambassadeurs ont été sélectionné parmi les 60 choisis par université ».
« Ils participeront à cette formation qui aboutira à des initiatives de paix comme ils l'ont fait durant la première phase », déclare la directrice par la Fondation Internationale pour les Systèmes Electoraux (IFES), Adela Ravida. La particularité est que cette deuxième formation a prévu des initiatives qui seront liées « à la sensibilisation, à l'animation des sessions de campagne d'éducation civique, mais surtout une place à l'initiative créative des ambassadeurs » a-t-elle ajouté.
C'est pourquoi « on leur laisse la liberté de mener des initiatives », car « il y a beaucoup d’interaction sur entre eux et les formateurs », informe la directrice.
Le choix des étudiants pour la directrice n'est pas un hasard parce que « les évènements du mois de juin de l’année dernière ont montré que les universités peuvent être des endroits trop chauds et donc, on essaie de former les étudiants dans les capacités de gestion de conflit, du maintien de la paix » révèle Adela Ravida. Des capacités qui ne serviront seulement pas dans les périodes de contextes électoraux.
« Les étudiants nous ont fait part de plusieurs raisons pour lesquelles il y a des violences, des tensions au niveau des campus qui ne se limitent pas qu’à Dakar. Telle est l’explication de l’élargissement de la deuxième étape dans d’autres localités comme Kaolack Bambey Thiès …pour étendre le rôle d’ambassadeur de la paix », explique-t-elle.
C’est pourquoi depuis le début, « nous avons sélectionné les étudiants sur la base de leur activisme ». Constat « nous avons des étudiants de différents horizons qui sont parvenus à faire dialoguer des représentants de la société civile comme à Ziguinchor où certains membres des associations de moto jakartaman et des policiers ont partagé des matches de football avant la présidentielle, des représentants religieux et de parti politique », car « nous leur avons fourni des instruments qui peuvent être utilisés dans tous les contextes surtout, des difficultés qui suscitent des tensions.
Les ambassadeurs que sont les étudiants « ont fait des scénarios pendant la formation qui leur permettent d’appliquer à des situations de vie réelle et c’est à eux de les gérer, de les mener et de les organiser pour porter le message de paix et de sensibilisation communautaire dans leur milieu associatif. Nous sommes en train de voir à travers la formation théorique et pratique des initiatives de les permettre d’être les leaders de demains », souligne la directrice.
De sa part, Vincent Gomis chef du service au dialogue citoyen et de l’accueil usager au niveau de la ville de Dakar, représentant le maire, cette rencontre épouse la « vison du maire de Dakar qui développe ces politiques de paix, de dialogue et de cohésion sociale depuis quelques années par la mise en place du service de dialogue citoyen ».
Il précise aussi que « la mairie dispose ces genres de programmes dans lesquels on a formé une trentaine de jeunes au coaching territorial, qui est une méthode de sensibilisation en permanence les populations sur les différents enjeux ».
Aujourd’hui, « nous avons comme projet de faire de la rentrée prochaine une rentrée citoyenne et nous avons entrepris de signer des conventions avec beaucoup d’instituts de la place » donc « nous pouvons à cet effet utiliser ces ambassadeurs formés pour qu’ils nous servent de relais afin de véhiculer le message de paix et de cohésion sociale », renchérit Gomis.
Ce que Aminata Sow ambassadrice trouve comme une aubaine et est prête « à 100% à une collaboration parce que c’est une très bonne initiative ». Elle qui « aimerait partager avec ses jeunes frères l’initiative de la paix, le développement de notre société dans la paix ».
Au sortir de la formation « nous sommes appelées à véhiculer les messages de paix, de développer notre paix intérieure pour pouvoir transmettre à nos frères et sœurs » les germes de la paix car « sans la paix on ne peut rien développer ajoute-t-elle. Une tâche qui ne va pas être facile vu sa lourdeur.
Pour Alassane Khoumé ambassadeur « la formation leur permettra d’avoir des compétences qu’il faut au-delà d’être des ambassadeurs de la paix et de permettre à la communauté d’aller de l’avant ».
Pour l’instant, ils ont compris les différents types de leaders, car c’est des personnes qui ont un plus par rapport aux autres ». C’est pourquoi dit-il,« nous comptons mettre en place d’autres initiatives qui entrent dans le cadre de la paix pour impacter plus nos communautés ».
Et pour mener à bien cette mission nous « comptons dérouler des activités qui entrent dans le cadre de la paix comme la sensibilisation, des activités qui regroupent des personnes comme le foot, pour que les gens puissent s’imprégner de la quintessence de la paix » soutient Alassane Khoumé.
Pour cette deuxième étape « 25 étudiants ambassadeurs ont été sélectionné parmi les 60 choisis par université ».
« Ils participeront à cette formation qui aboutira à des initiatives de paix comme ils l'ont fait durant la première phase », déclare la directrice par la Fondation Internationale pour les Systèmes Electoraux (IFES), Adela Ravida. La particularité est que cette deuxième formation a prévu des initiatives qui seront liées « à la sensibilisation, à l'animation des sessions de campagne d'éducation civique, mais surtout une place à l'initiative créative des ambassadeurs » a-t-elle ajouté.
C'est pourquoi « on leur laisse la liberté de mener des initiatives », car « il y a beaucoup d’interaction sur entre eux et les formateurs », informe la directrice.
Le choix des étudiants pour la directrice n'est pas un hasard parce que « les évènements du mois de juin de l’année dernière ont montré que les universités peuvent être des endroits trop chauds et donc, on essaie de former les étudiants dans les capacités de gestion de conflit, du maintien de la paix » révèle Adela Ravida. Des capacités qui ne serviront seulement pas dans les périodes de contextes électoraux.
« Les étudiants nous ont fait part de plusieurs raisons pour lesquelles il y a des violences, des tensions au niveau des campus qui ne se limitent pas qu’à Dakar. Telle est l’explication de l’élargissement de la deuxième étape dans d’autres localités comme Kaolack Bambey Thiès …pour étendre le rôle d’ambassadeur de la paix », explique-t-elle.
C’est pourquoi depuis le début, « nous avons sélectionné les étudiants sur la base de leur activisme ». Constat « nous avons des étudiants de différents horizons qui sont parvenus à faire dialoguer des représentants de la société civile comme à Ziguinchor où certains membres des associations de moto jakartaman et des policiers ont partagé des matches de football avant la présidentielle, des représentants religieux et de parti politique », car « nous leur avons fourni des instruments qui peuvent être utilisés dans tous les contextes surtout, des difficultés qui suscitent des tensions.
Les ambassadeurs que sont les étudiants « ont fait des scénarios pendant la formation qui leur permettent d’appliquer à des situations de vie réelle et c’est à eux de les gérer, de les mener et de les organiser pour porter le message de paix et de sensibilisation communautaire dans leur milieu associatif. Nous sommes en train de voir à travers la formation théorique et pratique des initiatives de les permettre d’être les leaders de demains », souligne la directrice.
De sa part, Vincent Gomis chef du service au dialogue citoyen et de l’accueil usager au niveau de la ville de Dakar, représentant le maire, cette rencontre épouse la « vison du maire de Dakar qui développe ces politiques de paix, de dialogue et de cohésion sociale depuis quelques années par la mise en place du service de dialogue citoyen ».
« Instaurer en permanence des dialogues entre les différents segments de notre société »Vincent affirme que ce « dialogue va permettre la mise en place et l’exécution des activités de programmes tels que le coaching territorial qui permet d’instaurer en permanence des dialogues entre les différents segments de notre société ».
Il précise aussi que « la mairie dispose ces genres de programmes dans lesquels on a formé une trentaine de jeunes au coaching territorial, qui est une méthode de sensibilisation en permanence les populations sur les différents enjeux ».
Aujourd’hui, « nous avons comme projet de faire de la rentrée prochaine une rentrée citoyenne et nous avons entrepris de signer des conventions avec beaucoup d’instituts de la place » donc « nous pouvons à cet effet utiliser ces ambassadeurs formés pour qu’ils nous servent de relais afin de véhiculer le message de paix et de cohésion sociale », renchérit Gomis.
Ce que Aminata Sow ambassadrice trouve comme une aubaine et est prête « à 100% à une collaboration parce que c’est une très bonne initiative ». Elle qui « aimerait partager avec ses jeunes frères l’initiative de la paix, le développement de notre société dans la paix ».
Au sortir de la formation « nous sommes appelées à véhiculer les messages de paix, de développer notre paix intérieure pour pouvoir transmettre à nos frères et sœurs » les germes de la paix car « sans la paix on ne peut rien développer ajoute-t-elle. Une tâche qui ne va pas être facile vu sa lourdeur.
Pour Alassane Khoumé ambassadeur « la formation leur permettra d’avoir des compétences qu’il faut au-delà d’être des ambassadeurs de la paix et de permettre à la communauté d’aller de l’avant ».
Pour l’instant, ils ont compris les différents types de leaders, car c’est des personnes qui ont un plus par rapport aux autres ». C’est pourquoi dit-il,« nous comptons mettre en place d’autres initiatives qui entrent dans le cadre de la paix pour impacter plus nos communautés ».
Et pour mener à bien cette mission nous « comptons dérouler des activités qui entrent dans le cadre de la paix comme la sensibilisation, des activités qui regroupent des personnes comme le foot, pour que les gens puissent s’imprégner de la quintessence de la paix » soutient Alassane Khoumé.