«A Thiès, les enfants méritent plus d’estime et d’attention ». C’est ce qu’a déclaré le manager de la Fédération Kajoor Jankeen, Alioune Sarr. Le premier invité du Cadre de concertation pour le développement de la capitale du rail se prononçait à l’occasion du premier numéro de « Face aux Thièssois ».
Le manager a axé sa communication sur la protection des enfants. Qui, pour lui, reste « une urgence dans la capitale du rail ». Selon lui, les enfants sont confrontés à plusieurs problèmes qui heurtent leur épanouissement. Parmi lesquels, il a cité les viols répétés sur les bébés, un phénomène qui commence à gagner du terrain dans cette ville.
«Vous vous souvenez tous du bébé de 18 mois qui a été violé et sauvagement jeté dans un bâtiment en chantier. Cette souffrance ne s’est pas seulement limitée au niveau des petits enfants. Cela se vérifie également du côté des talibés qui sont exposés à des risques certains », a-t-il déclaré.
«Avec le froid glacial, nous sommes tous couverts et bien à l’abri au moment où les talibés grelotent dans un coin d’une rue ou d’une maison délabrée où le passage du vent est privilégié. En ce moment même, d’autres enfants sont bien protégés », regrette le maire de Notto.
M. Sarr, dans les colonnes du journal «Libération», soutient que la place de l’enfant n’est pas d’être à tout moment dans la rue. Avant de plaider pour le respect de leurs droits, rappelant au passage que le droit de la communication des enfants est un droit fondamental que la presse doit endosser.
Le manager a axé sa communication sur la protection des enfants. Qui, pour lui, reste « une urgence dans la capitale du rail ». Selon lui, les enfants sont confrontés à plusieurs problèmes qui heurtent leur épanouissement. Parmi lesquels, il a cité les viols répétés sur les bébés, un phénomène qui commence à gagner du terrain dans cette ville.
«Vous vous souvenez tous du bébé de 18 mois qui a été violé et sauvagement jeté dans un bâtiment en chantier. Cette souffrance ne s’est pas seulement limitée au niveau des petits enfants. Cela se vérifie également du côté des talibés qui sont exposés à des risques certains », a-t-il déclaré.
«Avec le froid glacial, nous sommes tous couverts et bien à l’abri au moment où les talibés grelotent dans un coin d’une rue ou d’une maison délabrée où le passage du vent est privilégié. En ce moment même, d’autres enfants sont bien protégés », regrette le maire de Notto.
M. Sarr, dans les colonnes du journal «Libération», soutient que la place de l’enfant n’est pas d’être à tout moment dans la rue. Avant de plaider pour le respect de leurs droits, rappelant au passage que le droit de la communication des enfants est un droit fondamental que la presse doit endosser.