Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA), sur les présentations du service audiovisuel, constate pour le déplorer, que certaines télévisions de la place « diffusent des propos souvent déplacés », mais aussi « des clips favorisant l’émergence et l’expression de danses obscènes », peu adaptées à un public jeune. Ceci en violation des articles 25 et 26 du cahier des charges relatif aux catégories d’émissions et à la signalétique. En effet, certaines radios et télévisions qui diffusent de la publicité autour de thématiques dédiées aux guérisseurs traditionnels, sans aucune précaution sur leurs compétences, constituent, selon l’instance de régulation, une violation grave du code de déontologie médicale et de la loi sur la publicité. Par ailleurs l’équipe dirigée par Babacar TOURE, dans les colonnes du journal « L’As », indexe certains médias audiovisuels d’avoir diffusé des jeux interactifs vers des serveurs surtaxés sans informer les participants sur les coûts éventuels de ces types de communications.
Publicité mensongère, clips obscènes, propos désobligeants : le CNRA siffle la fin de la récréation
Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA), sur les présentations du service audiovisuel, constate pour le déplorer, que certaines télévisions de la place « diffusent des propos souvent déplacés », mais aussi « des clips favorisant l’émergence et l’expression de danses obscènes », peu adaptées à un public jeune. Ceci en violation des articles 25 et 26 du cahier des charges relatif aux catégories d’émissions et à la signalétique. En effet, certaines radios et télévisions qui diffusent de la publicité autour de thématiques dédiées aux guérisseurs traditionnels, sans aucune précaution sur leurs compétences, constituent, selon l’instance de régulation, une violation grave du code de déontologie médicale et de la loi sur la publicité. Par ailleurs l’équipe dirigée par Babacar TOURE, dans les colonnes du journal « L’As », indexe certains médias audiovisuels d’avoir diffusé des jeux interactifs vers des serveurs surtaxés sans informer les participants sur les coûts éventuels de ces types de communications.
Ibrahima Mansaly (Stagiaire)
Lundi 4 Mars 2013 15:46
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