«Le 25 juillet passé, l’Ambassade du Japon a organisé un cocktail en mon honneur, beaucoup d’autorités à l’image de Khalifa Sall et Penda Mbow y ont pris part. Il y avait aussi ce festival de jazz américain Randy Weston et la danseuse Sénégalaise Germaine Acogny, la résidence était pleine comme un œuf. On m’y a décoré et donné une médaille de la part du gouvernement japonais. Mardi, des étrangers ont organisé le vernissage d’une exposition d’art à la galerie Loman Art de Liberté 6 pour aussi m’y rendre hommage. L’Ambassade des USA au Sénégal m’a rendu hommage ce jeudi. Il y a aussi des manifestations en mon honneur à la Mairie de Dakar», campe Doudou Ndiaye Rose qui souligne toutefois que «le problème au Sénégal est que les gens attendent toujours ta mort pour te rendre hommage».
A ce propos, sert-il dans une interview accordée à «Enquête», «Il y a trente (30) ans, j’animais une cérémonie d’hommage à Douta Seck qui était déjà très malade à l’époque et j’avais publiquement demandé à ceux qui souhaitaient en faire autant pour moi, le fassent maintenant. Je leur ai demandé de ne pas attendre ma mort». Fort de ce fait, Doudou Ndiaye Coumba Rose avertit: «Quiconque me le fait, je ne lui pardonnerais pas. Je ne veux pas d’hommage alors». Ce, d’autant plus que souligne-t-il : «Quelqu’un m’a dit une fois que ce n’est pas normal qu’on n’ait jusque-là pas baptisé une école ou une ruelle en mon nom».
A ce propos, sert-il dans une interview accordée à «Enquête», «Il y a trente (30) ans, j’animais une cérémonie d’hommage à Douta Seck qui était déjà très malade à l’époque et j’avais publiquement demandé à ceux qui souhaitaient en faire autant pour moi, le fassent maintenant. Je leur ai demandé de ne pas attendre ma mort». Fort de ce fait, Doudou Ndiaye Coumba Rose avertit: «Quiconque me le fait, je ne lui pardonnerais pas. Je ne veux pas d’hommage alors». Ce, d’autant plus que souligne-t-il : «Quelqu’un m’a dit une fois que ce n’est pas normal qu’on n’ait jusque-là pas baptisé une école ou une ruelle en mon nom».