Le HCCT qui faisait face à la presse ce mardi, a déclaré qu’en cinq (5) ans, conformément à ses missions et attributions, adossées à un plan stratégique conçu, a élaboré de nombreux avis et recommandations, des contributions et des études sur des thématiques aussi variées et en cohérence avec les trois axes du PSE et aux préoccupations des populations.
"L'objectif poursuivi a travers ce point de presse est de vous donner la position officielle du HCCT. Depuis que le président de la République a fixé la date de l'élection du HCCT au 4 septembre 2022, il a été noté à plusieurs reprises des déclarations erronées, des jugements hâtifs sur l'utilité du HCCT. Dans un tel contexte, il nous paraît nécessaire à travers ce point de presse de vous donner les bonnes informations et déceler la lanterne de nos compatriotes et partenaires sur les confusions malencontreusement entretenues", a déclaré Mael Thiam premier vice-président du HCCT.
Il ajoute: "Cinq (05) rapports dont 04 annuels et un quinquennal, 04 contributions, 06 études et 26 avis répartis en 548 recommandations motivées ont été élaborés et mis à la disposition du président de la République et du Gouvernement à partir de l'audition de 145 structures et personnalités (élus territoriaux, directeurs nationaux et généraux, ministres de la République, de hauts cadres, des ONG, des organisations de la société civile et des partenaires techniques et financiers, etc.)".
Selon M. Thiam, ces avis, contributions, recommandations et études formulées par le HCCT ont permis au président de la République et à son Gouvernement de lancer des réformes, par exemple sur la mise en place de la fonction publique locale, du Programme d'Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN) rural qui a bénéficié à plus de 450 collectivités territoriales, l’amélioration du statut du chef de village.
Egalement, ils ont permis de faire des propositions de réactualisation de certains textes législatifs et réglementaires dans certains Secteurs et d'apaiser le climat social. (…). Dans le cadre de la promotion des bonnes pratiques, le HCCT a reboisé une superficie de 50 ha dans la commune de Léona, dans le département de Louga pour aider les collectivités territoriales à créer des bois communaux afin de participer à l'atténuation des effets des changements climatiques ».
A en croire le vice-président, la création du HCCT était une recommandation des assises nationales dont fut signataires la majorité des acteurs qui le fustigent aujourd'hui. Il ajoute que la configuration politique de cette assemblée consultative comporte les représentants des coalitions qui ont décide de boycotter le prochain scrutin.
M. Thiam a profité de l'occasion pour ‘’suggérer solennellement au président de la République, de mettre à profit son mandat à la tête de l'Union Africaine pour I‘opérationnalisation du Haut Conseil des Autorités locales (HCAL) dont Dakar devrait abriter le siège’’.
Parlant de l’utilité du HCCT, Mael Thiam soutient qu’elle s'appuie sur « une cohérence politique dès lors que la mise en place d'une telle institution était inscrite dans le programme "Yoonu Yokkute" puis dans le PSE à travers l'acte III de la décentralisation qui promeut la territorialisation des politiques publiques ».
"L'objectif poursuivi a travers ce point de presse est de vous donner la position officielle du HCCT. Depuis que le président de la République a fixé la date de l'élection du HCCT au 4 septembre 2022, il a été noté à plusieurs reprises des déclarations erronées, des jugements hâtifs sur l'utilité du HCCT. Dans un tel contexte, il nous paraît nécessaire à travers ce point de presse de vous donner les bonnes informations et déceler la lanterne de nos compatriotes et partenaires sur les confusions malencontreusement entretenues", a déclaré Mael Thiam premier vice-président du HCCT.
Il ajoute: "Cinq (05) rapports dont 04 annuels et un quinquennal, 04 contributions, 06 études et 26 avis répartis en 548 recommandations motivées ont été élaborés et mis à la disposition du président de la République et du Gouvernement à partir de l'audition de 145 structures et personnalités (élus territoriaux, directeurs nationaux et généraux, ministres de la République, de hauts cadres, des ONG, des organisations de la société civile et des partenaires techniques et financiers, etc.)".
Selon M. Thiam, ces avis, contributions, recommandations et études formulées par le HCCT ont permis au président de la République et à son Gouvernement de lancer des réformes, par exemple sur la mise en place de la fonction publique locale, du Programme d'Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN) rural qui a bénéficié à plus de 450 collectivités territoriales, l’amélioration du statut du chef de village.
Egalement, ils ont permis de faire des propositions de réactualisation de certains textes législatifs et réglementaires dans certains Secteurs et d'apaiser le climat social. (…). Dans le cadre de la promotion des bonnes pratiques, le HCCT a reboisé une superficie de 50 ha dans la commune de Léona, dans le département de Louga pour aider les collectivités territoriales à créer des bois communaux afin de participer à l'atténuation des effets des changements climatiques ».
A en croire le vice-président, la création du HCCT était une recommandation des assises nationales dont fut signataires la majorité des acteurs qui le fustigent aujourd'hui. Il ajoute que la configuration politique de cette assemblée consultative comporte les représentants des coalitions qui ont décide de boycotter le prochain scrutin.
M. Thiam a profité de l'occasion pour ‘’suggérer solennellement au président de la République, de mettre à profit son mandat à la tête de l'Union Africaine pour I‘opérationnalisation du Haut Conseil des Autorités locales (HCAL) dont Dakar devrait abriter le siège’’.
Parlant de l’utilité du HCCT, Mael Thiam soutient qu’elle s'appuie sur « une cohérence politique dès lors que la mise en place d'une telle institution était inscrite dans le programme "Yoonu Yokkute" puis dans le PSE à travers l'acte III de la décentralisation qui promeut la territorialisation des politiques publiques ».