Sur ce, la solution est peut-être trouvée par l'université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui pilote le programme QADoc. Avec ce programme, l'UCAD a la charge d'appuyer des pays comme la Guinée, la République démocratique du Congo et le Sénégal. Il s'agit avec le programme QADoc de tracer les normes sur lesquelles vont reposer les écoles doctorales et de recherche dans ces pays. L'objectif, selon le secrétaire exécutif de l'autorité nationale d'assurance qualité de l'enseignement de la recherche et de l'innovation (ANAQ-SUP), Lamine Guèye, "en plus de passer à l’évaluation de ces écoles doctorales dans le but de témoigner de la qualité, mais surtout pour une amélioration continue de la qualité dans les écoles doctorales et la recherche en Afrique".
Par ailleurs, le projet QADoc veut relever le défit de l'harmonisation des outils d'évaluation au niveau sous-régional. L'autre but, également est de "travailler avec les universités pour que toutes les écoles doctorales impliquées dans ce projet puissent faire leur auto-évaluation", ont fait savoir les responsables du projet QADoc.
Parlant au nom de l'UCAD, le directeur de la Recherche et de l’Innovation, Babacar Faye fait part de l'importance à ce que "toutes les formations puissent atteindre ces standards internationaux leur permettant de répondre aux besoins socioprofessionnels en termes de qualité dans l’enseignement et dans la formation".
Le projet QADoc veut à travers ce programme rendre les écoles doctorales et de recherche beaucoup plus performantes et répondant en même temps aux normes internationales. Et le rôle entamé par l'UCAD dans ce programme est plus que rassurant d'après les acteurs de la Guinée et de la République démocratique du Congo.
Par ailleurs, le projet QADoc veut relever le défit de l'harmonisation des outils d'évaluation au niveau sous-régional. L'autre but, également est de "travailler avec les universités pour que toutes les écoles doctorales impliquées dans ce projet puissent faire leur auto-évaluation", ont fait savoir les responsables du projet QADoc.
Parlant au nom de l'UCAD, le directeur de la Recherche et de l’Innovation, Babacar Faye fait part de l'importance à ce que "toutes les formations puissent atteindre ces standards internationaux leur permettant de répondre aux besoins socioprofessionnels en termes de qualité dans l’enseignement et dans la formation".
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