"Pourquoi, nous ne lâcherons pas nos frères du Sahel ?" C'est la question que s'est d'emblée posée Ousmane Sonko en abordant le problème des Etats du Sahel (Mali, Burkina Faso et Niger). C'est avec une intransigeance frisante que le leader du Pastef a parlée de la situation des Etats du Sahel, victimes de critiques de tout bord de la part des Occidentaux. "Et nous, nous ferons tout ce qu'il faut pour raffermir les liens et leur apporter notre solidarité", a poursuivi l'ancien maire de Ziguinchor.
Sous une salve d'applaudissements, Ousmane Sonko élève la voix un peu plus. Comme un soprano, il martèle, " ceux qui condamnent des régimes sont pourtant enclins à aller vers d'autres régimes qui ne sont pas démocratiques lorsque leurs intérêts s'y trouvent pour négocier du pétrole ou des marchés". À peine ces phrases, achevées, retentissent de plus bel des applaudissements, comme pour encourager leur leader. Et Sonko de poursuivre, d'une voix ferme et envahissante, " les problèmes internes aux pays doivent être réglés par les citoyens de ces pays. Certes, il y a eu des coups d'Etat. Certes, personne n'encourage la commission des coups d'Etat. Mais je refuse d'être ceux qui analysent les symptômes et qui refusent d'analyser les causes réelles et profondes".
À cette fin de phrase, c'est presque un standing ovation dans la salle, obligeant le "pastéfien" à marquer une pause. Cette fois-ci, c'est à l'applaudimètre et le tout accompagné de voix scandant le nom de Sonko, que le leader du Pastef va poursuivre son "grand oral".
" Je voudrais à monsieur Mélenchon, que ces tergiversations que cette ambivalence dans les prises de position qui ont fini par discréditer une bonne partie de l'Occident et en l'occurrence ici, l'Europe et la France, au regard de tous ces peuples africains qui aujourd'hui vont aux mêmes écoles suivent de la même manière l'actualité mondiale et sont aussi éveillés que n'importe quel autre peuple du monde. Et cela a fini par déteindre très négativement les relations entre l'Afrique et l'Europe. Il nous faut refonder ces relations parce que nous sommes tenus d'être ensemble et de travailler ensemble", ainsi, s'est adressé Ousmane Sonko à son hôte du jour.
Dans une salle acquise à sa cause, l'homme politique sénégalais s'est voulu beaucoup plus clair sur les relations entre l'Afrique et l'Occident. Dans une large mesure, l'ancien opposant appelle au redimensionnement de ces dites relations. Et à l'en croire, cela passe par la révision de certains accords.
Sous une salve d'applaudissements, Ousmane Sonko élève la voix un peu plus. Comme un soprano, il martèle, " ceux qui condamnent des régimes sont pourtant enclins à aller vers d'autres régimes qui ne sont pas démocratiques lorsque leurs intérêts s'y trouvent pour négocier du pétrole ou des marchés". À peine ces phrases, achevées, retentissent de plus bel des applaudissements, comme pour encourager leur leader. Et Sonko de poursuivre, d'une voix ferme et envahissante, " les problèmes internes aux pays doivent être réglés par les citoyens de ces pays. Certes, il y a eu des coups d'Etat. Certes, personne n'encourage la commission des coups d'Etat. Mais je refuse d'être ceux qui analysent les symptômes et qui refusent d'analyser les causes réelles et profondes".
À cette fin de phrase, c'est presque un standing ovation dans la salle, obligeant le "pastéfien" à marquer une pause. Cette fois-ci, c'est à l'applaudimètre et le tout accompagné de voix scandant le nom de Sonko, que le leader du Pastef va poursuivre son "grand oral".
" Je voudrais à monsieur Mélenchon, que ces tergiversations que cette ambivalence dans les prises de position qui ont fini par discréditer une bonne partie de l'Occident et en l'occurrence ici, l'Europe et la France, au regard de tous ces peuples africains qui aujourd'hui vont aux mêmes écoles suivent de la même manière l'actualité mondiale et sont aussi éveillés que n'importe quel autre peuple du monde. Et cela a fini par déteindre très négativement les relations entre l'Afrique et l'Europe. Il nous faut refonder ces relations parce que nous sommes tenus d'être ensemble et de travailler ensemble", ainsi, s'est adressé Ousmane Sonko à son hôte du jour.
Dans une salle acquise à sa cause, l'homme politique sénégalais s'est voulu beaucoup plus clair sur les relations entre l'Afrique et l'Occident. Dans une large mesure, l'ancien opposant appelle au redimensionnement de ces dites relations. Et à l'en croire, cela passe par la révision de certains accords.
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