L'histoire retiendra que la Tunisie était le dernier vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations, en 2004, avant le joli triplé des Pharaons égyptiens. Les Aigles de Carthage avaient dominé le Maroc en finale (2-1, but de Santos et Jaziri). Un derby maghrébin qui marque la première journée de cette CAN 2012 entre deux équipes à la recherche d'un nouveau joli parcours depuis ce match d'il y a 8 ans.
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante. oire retiendra que la Tunisie était le dernier vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations, en 2004, avant le joli triplé des Pharaons égyptiens. Les Aigles de Carthage avaient dominé le Maroc en finale (2-1, but de Santos et Jaziri). Un derby maghrébin qui marque la première journée de cette CAN 2012 entre deux équipes à la recherche d'un nouveau joli parcours depuis ce match d'il y a 8 ans.
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante.
L'histoire retiendra que la Tunisie était le dernier vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations, en 2004, avant le joli triplé des Pharaons égyptiens. Les Aigles de Carthage avaient dominé le Maroc en finale (2-1, but de Santos et Jaziri). Un derby maghrébin qui marque la première journée de cette CAN 2012 entre deux équipes à la recherche d'un nouveau joli parcours depuis ce match d'il y a 8 ans.
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante.
Avec football.fr
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante. oire retiendra que la Tunisie était le dernier vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations, en 2004, avant le joli triplé des Pharaons égyptiens. Les Aigles de Carthage avaient dominé le Maroc en finale (2-1, but de Santos et Jaziri). Un derby maghrébin qui marque la première journée de cette CAN 2012 entre deux équipes à la recherche d'un nouveau joli parcours depuis ce match d'il y a 8 ans.
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante.
L'histoire retiendra que la Tunisie était le dernier vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations, en 2004, avant le joli triplé des Pharaons égyptiens. Les Aigles de Carthage avaient dominé le Maroc en finale (2-1, but de Santos et Jaziri). Un derby maghrébin qui marque la première journée de cette CAN 2012 entre deux équipes à la recherche d'un nouveau joli parcours depuis ce match d'il y a 8 ans.
Dans les ambitions, ce sont les Marocains qui semblent avoir mis la barre la plus haut. "Nous sommes tous optimistes. Plus que la sélection, c'est tout un peuple qui est enthousiaste, qui veut croire à un beau parcours. Nous sommes réalistes, le Maroc a ses joueurs de qualité, dans des clubs européens de première catégorie. L'équipe est forte, mais est-elle capable de rivaliser avec les favoris ? Sur cette CAN, arriver en demi-finales serait un exploit", nous a ainsi expliqué Aziz Bouderbala, ancienne légende de la sélection marocaine.
La Tunisie avec ses champions d'Afrique
Il faut dire qu'Eric Gerets s'appuie sur un groupe de qualité. D'abord offensivement, avec quelques éléments bien connus de la Ligue 1 comme les historiques Marouane Chamakh, Youssouf Hadji et Mbark Boussoufa ainsi que les plus jeunes Youssef El Arabi, Adel Taarabt et Mehdi Carcela-Gonzalez. Auteur d'une bonne première partie de saison avec Montpellier, Younès Belhanda, seulement 22 ans, doit prendre ses responsabilités et devenir le patron technique aux côtés du capitaine Houssine Kharja. "Je pense que ce sera très difficile... En Afrique, le foot est joué différemment. Par exemple, les arbitres ne sifflent pas à chaque faute...", tempère néanmoins Michaël Chrétien Basser, le latéral droit né et révélé à Nancy, rapporte mountakhab.net.
Les Tunisiens, qui débutent cette CAN sans véritable ambition (après une 2e place derrière le Botswana en éliminatoires), auront à coeur de bien débuter, eux qui se satisferaient amplement de sortir de ce groupe C. Dans un style moins flamboyant, les ouailles de Sami Trabelsi ont les armes pour surprendre le Maroc et toute l'Afrique. Contrairement à leur adversaire du jour, le mélange entre les "étrangers" et les "locaux" est plus équilibré, puisque la défense est particulièrement solide et le milieu s'appuie sur trois joueurs de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, Mejdi Traoui et Oussama Darragi, un joueur à suivre. Seule l'attaque, emmenée par l'Auxerrois Issam Jemâa, est peu impressionnante.
Avec football.fr