
Connu pour son assiduité à déposer des questions écrites sur la table du gouvernement, portant sur divers sujets liés aux maux qui gangrènent la société sénégalaise, le parlementaire communément appelé "le député du peuple" a, comme à son habitude, tenu à partager avec les populations les réponses reçues à certaines de ses questions adressées aux autorités compétentes.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, Guy Marius Sagna, qui semble insatisfait de la réponse reçue concernant le cas du CEM de Sébi Gare, annonce qu’il adressera une nouvelle question écrite, cette fois au ministre de l’Éducation nationale.
1. Diplômes de l’ISEG :
Plusieurs étudiants de l’Institut Supérieur d’Entrepreneurship et de Gestion (ISEG) m’avaient saisi pour se plaindre de ne pas recevoir leurs diplômes. Des étudiants de nationalité djiboutienne avaient pourtant obtenu des diplômes de l’ISEG alors qu’ils étaient inscrits dans une école à Djibouti portée par l’ISEG, en violation du décret n°2018-850 du 11 mai 2018 portant statut des établissements privés d’enseignement supérieur, notamment en son article 10.
Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation avait demandé à l’ISEG de s’expliquer. À ce jour, l’ISEG ne se serait jamais expliqué, et n’a jamais présenté au ministère les diplômes à signer.
2. Le cas du CEM de Sébi Gare :
Le CEM de Sébi Gare est, à ma connaissance, le seul collège du Sénégal à payer chaque mois un loyer pour les locaux qu’il occupe. Résultat : des arriérés de paiement s’accumulent. Le propriétaire vient régulièrement expulser les élèves. C’est pourquoi j’avais adressé une question écrite au gouvernement.
J’ai reçu une réponse, mais le ministère de l’Éducation nationale ne prend pas en compte ma préoccupation — qui est pourtant celle des élèves, des enseignants et des parents d’élèves.
À quand une solution définitive pour le CEM de Sébi Gare, une école publique contrainte de payer un loyer et endettée auprès de son bailleur ? Ce dernier a récemment demandé une copie des clés du CEM, comme il en a l’habitude, et menace de changer les serrures à tout moment. Ce risque pourrait priver une centaine de candidats de poursuivre correctement leurs apprentissages. Je vais écrire à nouveau au ministère de l’Éducation nationale.
3. Situation à l’Agence de Régulation Pharmaceutique (ARP) :
J’ai adressé deux questions écrites concernant l’ARP. J’ai reçu une première réponse du gouvernement et j’attends la seconde avant de me prononcer publiquement sur cette situation.
4. Hausse des dépenses d’hospitalisation :
J’avais également interrogé le gouvernement sur l’augmentation des dépenses d’hospitalisation des agents de l’État durant l’année 2024. En réponse, le gouvernement a fourni des chiffres pour affirmer qu’il n’y avait rien d’anormal.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, Guy Marius Sagna, qui semble insatisfait de la réponse reçue concernant le cas du CEM de Sébi Gare, annonce qu’il adressera une nouvelle question écrite, cette fois au ministre de l’Éducation nationale.
1. Diplômes de l’ISEG :
Plusieurs étudiants de l’Institut Supérieur d’Entrepreneurship et de Gestion (ISEG) m’avaient saisi pour se plaindre de ne pas recevoir leurs diplômes. Des étudiants de nationalité djiboutienne avaient pourtant obtenu des diplômes de l’ISEG alors qu’ils étaient inscrits dans une école à Djibouti portée par l’ISEG, en violation du décret n°2018-850 du 11 mai 2018 portant statut des établissements privés d’enseignement supérieur, notamment en son article 10.
Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation avait demandé à l’ISEG de s’expliquer. À ce jour, l’ISEG ne se serait jamais expliqué, et n’a jamais présenté au ministère les diplômes à signer.
2. Le cas du CEM de Sébi Gare :
Le CEM de Sébi Gare est, à ma connaissance, le seul collège du Sénégal à payer chaque mois un loyer pour les locaux qu’il occupe. Résultat : des arriérés de paiement s’accumulent. Le propriétaire vient régulièrement expulser les élèves. C’est pourquoi j’avais adressé une question écrite au gouvernement.
J’ai reçu une réponse, mais le ministère de l’Éducation nationale ne prend pas en compte ma préoccupation — qui est pourtant celle des élèves, des enseignants et des parents d’élèves.
À quand une solution définitive pour le CEM de Sébi Gare, une école publique contrainte de payer un loyer et endettée auprès de son bailleur ? Ce dernier a récemment demandé une copie des clés du CEM, comme il en a l’habitude, et menace de changer les serrures à tout moment. Ce risque pourrait priver une centaine de candidats de poursuivre correctement leurs apprentissages. Je vais écrire à nouveau au ministère de l’Éducation nationale.
3. Situation à l’Agence de Régulation Pharmaceutique (ARP) :
J’ai adressé deux questions écrites concernant l’ARP. J’ai reçu une première réponse du gouvernement et j’attends la seconde avant de me prononcer publiquement sur cette situation.
4. Hausse des dépenses d’hospitalisation :
J’avais également interrogé le gouvernement sur l’augmentation des dépenses d’hospitalisation des agents de l’État durant l’année 2024. En réponse, le gouvernement a fourni des chiffres pour affirmer qu’il n’y avait rien d’anormal.
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