«Ma démission dépend de Dieu et du Président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade», avait répliqué ferme, le désormais ex-ministre d’Etat, ministre de la Justice, Garde des Sceaux.
Il répondait, au sortir d’une rencontre à l’hôtel Méridien Président, devant les micros et caméras des journalistes à la Coalition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) qui avait exigé sa démission après l’affaire du coup d’Etat «organisé» par de jeunes opposants à la veille de du 11 anniversaire de l’alternance. Ce qui avait valu à Thérèse Diouf et compagnie de d’être interpelés et gardés à vue à la police centrale de Dakar.
Cette réponse avait, momentanément, clos le débat avec l’opposition. Par la suite, bien des choses se sont ajoutées à cette accusation qui a valu à des jeunes de passer des heures au commissariat de police de Dakar Plateau. Il s’agit, de l’existence, comme révélé par le magazine La Gazette, «des positions contradictoires» du Parquet, qui, entre le mois d’avril et de juillet 2010, a fait deux réquisitoires, «diamétralement, opposés» qui «démontrent la collusion» entre l’Exécutif et le judiciaire.
Dans ce même dossier, le même ministre, Cheikh Tidiane Sy, a été aussi, nommément, indexé tout dernièrement. Il aurait tenté de vouloir faire mouiller Idrissa SecK. En effet, il aurait demandé à Bara Tall, au cours d’une rencontre à New-York, de charger Idrissa Seck, ancien Premier ministre, dans le viseur du président Wade, en échange d’une rondelette somme de 8 milliards de FCFA du Pouvoir pour cautionner et qui servirait par la suite de compensation pour le service rendu.
A cette situation explosive est venue s’ajouter le mouvement d’humeur des magistrats qui a, quasiment, paralysé le système judiciaire depuis quelques temps.
Le vase est-il devenu trop débordant au point que Dieu ou le Président de la République, Me Abdoulaye Wade lui a demandé de rendre le tablier ?
Il pourra, certainement, redonner une réponse à ses «détracteurs» la coalition Bennoo Siggil Senegaal qui doivent bien rire, sous cape, de son départ, peut-être inattendu, tellement il aura mis du temps pour se concrétiser selon eux.
Il répondait, au sortir d’une rencontre à l’hôtel Méridien Président, devant les micros et caméras des journalistes à la Coalition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) qui avait exigé sa démission après l’affaire du coup d’Etat «organisé» par de jeunes opposants à la veille de du 11 anniversaire de l’alternance. Ce qui avait valu à Thérèse Diouf et compagnie de d’être interpelés et gardés à vue à la police centrale de Dakar.
Cette réponse avait, momentanément, clos le débat avec l’opposition. Par la suite, bien des choses se sont ajoutées à cette accusation qui a valu à des jeunes de passer des heures au commissariat de police de Dakar Plateau. Il s’agit, de l’existence, comme révélé par le magazine La Gazette, «des positions contradictoires» du Parquet, qui, entre le mois d’avril et de juillet 2010, a fait deux réquisitoires, «diamétralement, opposés» qui «démontrent la collusion» entre l’Exécutif et le judiciaire.
Dans ce même dossier, le même ministre, Cheikh Tidiane Sy, a été aussi, nommément, indexé tout dernièrement. Il aurait tenté de vouloir faire mouiller Idrissa SecK. En effet, il aurait demandé à Bara Tall, au cours d’une rencontre à New-York, de charger Idrissa Seck, ancien Premier ministre, dans le viseur du président Wade, en échange d’une rondelette somme de 8 milliards de FCFA du Pouvoir pour cautionner et qui servirait par la suite de compensation pour le service rendu.
A cette situation explosive est venue s’ajouter le mouvement d’humeur des magistrats qui a, quasiment, paralysé le système judiciaire depuis quelques temps.
Le vase est-il devenu trop débordant au point que Dieu ou le Président de la République, Me Abdoulaye Wade lui a demandé de rendre le tablier ?
Il pourra, certainement, redonner une réponse à ses «détracteurs» la coalition Bennoo Siggil Senegaal qui doivent bien rire, sous cape, de son départ, peut-être inattendu, tellement il aura mis du temps pour se concrétiser selon eux.