Neuf heures du matin, à la grande mosquée de Bangui, des milliers de fidèles musulmans s'installent dans le silence. Ils prient et écoutent le message des responsables politique et religieux : la paix. « A chaque fois depuis les évènements, les imams de la mosquée à la prière du vendredi, à l’occasion de l'Aïd el-Kébir, on prêche seulement la paix. Il faut s’aimer les uns et les autres. La violence ne sert à rien. L’islam, c’est la religion de la tolérance », explique Mamadou Boubayaka, une des membres de la grande mosquée.
Dans le quartier PK5, un quartier à majorité musulmane, le message est entendu et repris en chœur par les fidèles : « Les chrétiens et les musulmans, je remercie tout le monde. La meilleure chose que j’ai demandée, c’est la paix. Et la paix, ce n’est pas quelqu’un qui va amener ça. C’est nous-mêmes. Et nous prions Dieu pour que la paix soit en République centrafricaine et pour que la paix soit entre chrétiens et musulmans. C’est tout ce que nous souhaitons. On est tous des frères, on est tous de la même famille. »
Un peu plus tôt aux abords de la grande mosquée, un responsable de l'ONU a déclaré sourire aux lèvres : « Je n'avais jamais vu autant de monde se rassembler pour la grande prière de l'Aïd. C'est un signe, peut-être, que les Centrafricains ne veulent plus la guerre. »
Source: Rfi.fr
Dans le quartier PK5, un quartier à majorité musulmane, le message est entendu et repris en chœur par les fidèles : « Les chrétiens et les musulmans, je remercie tout le monde. La meilleure chose que j’ai demandée, c’est la paix. Et la paix, ce n’est pas quelqu’un qui va amener ça. C’est nous-mêmes. Et nous prions Dieu pour que la paix soit en République centrafricaine et pour que la paix soit entre chrétiens et musulmans. C’est tout ce que nous souhaitons. On est tous des frères, on est tous de la même famille. »
Un peu plus tôt aux abords de la grande mosquée, un responsable de l'ONU a déclaré sourire aux lèvres : « Je n'avais jamais vu autant de monde se rassembler pour la grande prière de l'Aïd. C'est un signe, peut-être, que les Centrafricains ne veulent plus la guerre. »
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