Des réfugiés de la République Démocratique du Congo portent leurs effets personnels en passant près des bureaux du HCR au camp de réfugiés de Kiziba, au Rwanda, le 21 février 2018. © Jean Bizimana / REUTERS
Selon José Makila, entre les données des services officiels sur le terrain et les chiffres livrés par la communauté humanitaire, il y a une grande marge. Le Premier ministre par intérim accuse les humanitaires d'avoir exagéré en considérant la crise, en RDC, au niveau le plus élevé. Il estime qu'il faut harmoniser les vues et révèle qu'à l'initiative du gouvernement, une réunion a même été envisagée.
« Cette rencontre ne s’étant tenue et ayant suivi plusieurs déclarations que nous qualifions de mensongères faites par certaines organisations humanitaires tendant à intoxiquer l’opinion tant nationale qu’internationale, le gouvernement de la République démocratique du Congo conditionne sa décision de participer à la rencontre de Genève à l’harmonisation de vues entre le gouvernement et les partenaires humanitaires », a déclaré le Premier ministre par intérim.
Côté humanitaires, on dit être surpris mais on se dit déterminé de profiter de ce week-end pour essayer de comprendre ce qui s'est réellement passé.
Source : Rfi
« Cette rencontre ne s’étant tenue et ayant suivi plusieurs déclarations que nous qualifions de mensongères faites par certaines organisations humanitaires tendant à intoxiquer l’opinion tant nationale qu’internationale, le gouvernement de la République démocratique du Congo conditionne sa décision de participer à la rencontre de Genève à l’harmonisation de vues entre le gouvernement et les partenaires humanitaires », a déclaré le Premier ministre par intérim.
Côté humanitaires, on dit être surpris mais on se dit déterminé de profiter de ce week-end pour essayer de comprendre ce qui s'est réellement passé.
Source : Rfi