D’après le bilan officiel fourni par le gouverneur Célestin Mbuyu, un militaire congolais aurait été tué et quatre autres personnes ont été blessées au cours des heurts qui ont opposé l’armée congolaise aux anciens rebelles démobilisés.
Une source militaire occidentale a affirmé qu’au moins vingt personnes ont été tuées au cours de ces violences. Une autre source militaire au sein de l’hôpital de Kamina, a indiqué qu’il y aurait plusieurs morts, sans plus de précisions.
Selon les témoignages recueillis, les accrochages ont eu lieu au moment où les ex miliciens démobilisés voulaient quitter la base militaire, pour descendre vers le centre-ville de Kamina.
Contacté, le porte-parole de l’armée, n’a pas souhaité répondre.
Ce n’est pas la première fois que des heurts sont signalés dans un cantonnement d’ex miliciens démobilisés.
En juin 2015, une révolte avait eu lieu à la base militaire de Kotakoli, dans le Nord du pays. Les mutins dénonçaient les conditions de vie difficile dans cette base où ils étaient cantonnés depuis plusieurs mois.
Une source militaire occidentale a affirmé qu’au moins vingt personnes ont été tuées au cours de ces violences. Une autre source militaire au sein de l’hôpital de Kamina, a indiqué qu’il y aurait plusieurs morts, sans plus de précisions.
Selon les témoignages recueillis, les accrochages ont eu lieu au moment où les ex miliciens démobilisés voulaient quitter la base militaire, pour descendre vers le centre-ville de Kamina.
Contacté, le porte-parole de l’armée, n’a pas souhaité répondre.
Ce n’est pas la première fois que des heurts sont signalés dans un cantonnement d’ex miliciens démobilisés.
En juin 2015, une révolte avait eu lieu à la base militaire de Kotakoli, dans le Nord du pays. Les mutins dénonçaient les conditions de vie difficile dans cette base où ils étaient cantonnés depuis plusieurs mois.