Fils d'un ancien président de l'Assemblée nationale, Floribert Anzuluni a grandi dans un environnement très politique. Mais, il s'est surtout fait un nom au sein de la société civile en initiant le mouvement citoyen Filimbi, actif dans la lutte pour l'alternance politique avant l'arrivée de Félix Tshisekedi au pouvoir.
Son militantisme l'a conduit à l'exil en 2015, tandis que certains de ses camarades se sont retrouvés derrière les barreaux. Ce banquier de 40 ans a également joué un rôle actif dans la lutte contre la corruption au sein de l'organisation américaine The Sentry. Primaires dans la société civile Le choix de Floribert Anzuluni est donc le résultat de primaires au sein des structures de la société civile, ce qui le distingue des autres candidats à la présidentielle. Les initiateurs de ces primaires disent vouloir renverser le paradigme politique prédominant en RDC, caractérisé selon eux par une autorité morale qui prend des décisions unilatérales et impose sa volonté à tous.
Alors que le second tour des primaires était en cours, deux autres candidatures ont été enregistrées à la Commission électorale nationale indépendante (Céni). Marie-José Ifoku, qui était la seule femme candidate en 2018, se représente. Enfin, Georges Buse Falay, ex-directeur de cabinet de l'ancien président Laurent-Désiré Kabila, se porte candidat en tant qu’indépendant.
Son militantisme l'a conduit à l'exil en 2015, tandis que certains de ses camarades se sont retrouvés derrière les barreaux. Ce banquier de 40 ans a également joué un rôle actif dans la lutte contre la corruption au sein de l'organisation américaine The Sentry. Primaires dans la société civile Le choix de Floribert Anzuluni est donc le résultat de primaires au sein des structures de la société civile, ce qui le distingue des autres candidats à la présidentielle. Les initiateurs de ces primaires disent vouloir renverser le paradigme politique prédominant en RDC, caractérisé selon eux par une autorité morale qui prend des décisions unilatérales et impose sa volonté à tous.
Alors que le second tour des primaires était en cours, deux autres candidatures ont été enregistrées à la Commission électorale nationale indépendante (Céni). Marie-José Ifoku, qui était la seule femme candidate en 2018, se représente. Enfin, Georges Buse Falay, ex-directeur de cabinet de l'ancien président Laurent-Désiré Kabila, se porte candidat en tant qu’indépendant.