Ce gouvernement a mis beaucoup de temps à sortir et on comprend désormais mieux pourquoi : on n’y retrouve ni têtes d’affiches ni ténors de la majorité.
Le Premier ministre est flanqué de deux vice-Premiers ministres. L’un, chargé du Budget, Daniel Mukoko, est peu connu du grand public. C’est un économiste universitaire réputé brillant qui a fait ses études au Japon. Ancien directeur de cabinet de la Primature, il est également un ancien collaborateur du Programme des Nations Unies pour le Développement. L’autre vice-Premier ministre, chargé de la Défense, Alexandre Lobotambo, est encore moins connu du grand public.
On trouve quelques femmes à la Justice, au Portefeuille et au Genre. Un ministère porte un intitulé qui parle aux Congolais : le ministère du Plan et de «la Révolution de la modernité». La «révolution de la modernité», c’était un slogan de campagne de Kabila.
Peu de ministres de l’ancien gouvernement retrouvent leurs postes, sauf à l’Education, aux Mines, et à l’Information où l’on retrouve Lambert Mende.
Enfin, une particularité : il n’y a plus de ministère des Finances. Le nouveau Premier ministre ayant sans doute voulu garder ses anciennes prérogatives.
RFI
Le Premier ministre est flanqué de deux vice-Premiers ministres. L’un, chargé du Budget, Daniel Mukoko, est peu connu du grand public. C’est un économiste universitaire réputé brillant qui a fait ses études au Japon. Ancien directeur de cabinet de la Primature, il est également un ancien collaborateur du Programme des Nations Unies pour le Développement. L’autre vice-Premier ministre, chargé de la Défense, Alexandre Lobotambo, est encore moins connu du grand public.
On trouve quelques femmes à la Justice, au Portefeuille et au Genre. Un ministère porte un intitulé qui parle aux Congolais : le ministère du Plan et de «la Révolution de la modernité». La «révolution de la modernité», c’était un slogan de campagne de Kabila.
Peu de ministres de l’ancien gouvernement retrouvent leurs postes, sauf à l’Education, aux Mines, et à l’Information où l’on retrouve Lambert Mende.
Enfin, une particularité : il n’y a plus de ministère des Finances. Le nouveau Premier ministre ayant sans doute voulu garder ses anciennes prérogatives.
RFI