Parmi les millions de personnes touchées, 3,1 millions sont en insécurité alimentaire d’urgence, rapporte le rapport de l’IPC, cet outil coordonné par le PAM, la FAO, l’Unicef et d’autres partenaires qui évalue et classe la gravité de l’insécurité alimentaire. Les provinces de l’est, notamment le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et l’Ituri, sont toujours les plus gravement affectées avec 702 000 personnes en situation d’urgence.
Dans l’ouest, le conflit du Mai-Ndombe continue d’affecter les provinces du Kwilu, du Kwango et du Mai-Ndombe, tandis que le territoire de Kwamouth, dans cette région, rejoint ceux de l’est, comme Nyunzu, Kongolo et Masisi, qui affichent les taux d’insécurité alimentaire les plus élevés du pays.
Ce constat n’est pas uniquement une conséquence des violences armées. Les catastrophes naturelles survenues entre fin 2023 et début 2024 ont également contribué à cette crise. Des inondations prolongées ont touché plusieurs provinces, notamment le Tanganyika, la Tshopo, et le Kongo-Central, entraînant des pertes massives de moyens de subsistance, d’infrastructures et de logements.
Des perturbations agricoles ont également été signalées dans des régions comme le Haut-Katanga, le Bas-Uélé et le Lualaba, aggravées par la sécheresse enZambie et des précipitations irrégulières.
Les inquiétudes pour les mois à venir restent importantes, selon les experts du PAM et de la FAO car la reprise des pluies expose de nombreuses régions à de nouvelles inondations et glissements de terrain, amplifiant les pertes agricoles et économiques.
De plus, la hausse attendue des prix des denrées alimentaires due à la dépréciation du franc congolais et aux difficultés d’approvisionnement pourrait accentuer encore davantage la vulnérabilité des ménages. Une situation qui, selon les experts, exige des réponses urgentes pour éviter que des millions de Congolais ne basculent dans des conditions encore plus critiques.
Dans l’ouest, le conflit du Mai-Ndombe continue d’affecter les provinces du Kwilu, du Kwango et du Mai-Ndombe, tandis que le territoire de Kwamouth, dans cette région, rejoint ceux de l’est, comme Nyunzu, Kongolo et Masisi, qui affichent les taux d’insécurité alimentaire les plus élevés du pays.
Ce constat n’est pas uniquement une conséquence des violences armées. Les catastrophes naturelles survenues entre fin 2023 et début 2024 ont également contribué à cette crise. Des inondations prolongées ont touché plusieurs provinces, notamment le Tanganyika, la Tshopo, et le Kongo-Central, entraînant des pertes massives de moyens de subsistance, d’infrastructures et de logements.
Des perturbations agricoles ont également été signalées dans des régions comme le Haut-Katanga, le Bas-Uélé et le Lualaba, aggravées par la sécheresse enZambie et des précipitations irrégulières.
Les inquiétudes pour les mois à venir restent importantes, selon les experts du PAM et de la FAO car la reprise des pluies expose de nombreuses régions à de nouvelles inondations et glissements de terrain, amplifiant les pertes agricoles et économiques.
De plus, la hausse attendue des prix des denrées alimentaires due à la dépréciation du franc congolais et aux difficultés d’approvisionnement pourrait accentuer encore davantage la vulnérabilité des ménages. Une situation qui, selon les experts, exige des réponses urgentes pour éviter que des millions de Congolais ne basculent dans des conditions encore plus critiques.
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