Le début de l'offensive est la mise en oeuvre d'un engagement du gouvernement de s'attaquer à environ 1500 rebelles des FDLR après que ceux-ci n'ont pas respecté l'ultimatum qui leur avait été donné pour désarmer.
L'opération dans la province de Sud-Kivu s'est déroulée sans l'appui de la brigade de maintien de la paix des Nations Unies spécialement mandatée pour combattre les rebelles.
La MONUSCO, la mission de l'ONU au Congo a retiré son offre de soutien parce que deux généraux congolais impliqués dans cette opération sont soupçonnés de violations des droits de l'homme.