Dans ses premières déclarations, le président du M23 Jean-Marie Runiga Lugerero pose un préalable au retrait de Goma et demande qu’un dialogue avec le président congolais, Joseph Kabila, soit -avant tout- mis en place. « Il faut se mettre autour d’une table avec la société civile, la diaspora, l’opposition, le gouvernement où on attend une offre du président Kabila pour le dialogue », a déclaré Jean-Marie Runiga Lugerero à l’Agence France-Presse.
Le président du M23 a précisé que s’il y a des problèmes et des revendications spécifiques au M23, il y a aussi le problème de la démocratie en République démocratique du Congo, il y a des problèmes de gouvernance, des problèmes sociaux, des problèmes concernant les droits de l’homme.
Jean-Marie Runiga Lugerero a par ailleurs déclaré à l’agence Reuters que l’offensive se poursuivrait tant que les négociations ne seront pas ouvertes : « Je n’ai pas confiance parce que j’ai attendu trois mois à Kampala pour négocier » a-t-il affirmé.
Donc pas de retrait de Goma envisagé pour l’instant. Le chef du M23 a également précisé que, si ses troupes étaient attaquées, elles riposteraient et elles continueraient à avancer. Le porte-parole militaire de la rébellion, le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, lui, est allé un peu plus loin : « Nous n’allons pas nous arrêter à Goma, nous irons jusqu’à Bukavu, Kisangani et Kinshasa », a-t-il déclaré hier.
Le président du M23 a précisé que s’il y a des problèmes et des revendications spécifiques au M23, il y a aussi le problème de la démocratie en République démocratique du Congo, il y a des problèmes de gouvernance, des problèmes sociaux, des problèmes concernant les droits de l’homme.
Jean-Marie Runiga Lugerero a par ailleurs déclaré à l’agence Reuters que l’offensive se poursuivrait tant que les négociations ne seront pas ouvertes : « Je n’ai pas confiance parce que j’ai attendu trois mois à Kampala pour négocier » a-t-il affirmé.
Donc pas de retrait de Goma envisagé pour l’instant. Le chef du M23 a également précisé que, si ses troupes étaient attaquées, elles riposteraient et elles continueraient à avancer. Le porte-parole militaire de la rébellion, le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, lui, est allé un peu plus loin : « Nous n’allons pas nous arrêter à Goma, nous irons jusqu’à Bukavu, Kisangani et Kinshasa », a-t-il déclaré hier.
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