Ce sont deux déclarations du président congolais cette semaine lors de sa tournée européenne qui ont relancé le débat. À Paris, d’abord, mercredi 1er mai dans la soirée, devant la diaspora, Félix Thisekedi est questionné par le public à ce sujet. « Ne faites pas de moi un dictateur », répond-t-il, avant d’ajouter : « Cette démarche ne relève pas seulement de mes compétences, mais plutôt de la population à travers ses représentants à l'Assemblée nationale ».
Deux jours plus tard, vendredi 3 mai, à Bruxelles toujours devant la diaspora, le président va un peu plus loin. « Je mettrai en place une commission qui réfléchira sereinement sur comment nous doter d’une Constitution digne de notre pays », assure-t-il.
Ligne rouge pour l'opposition
Ce changement de Constitution, c’est une ligne rouge a déjà prévenu l’opposition en RDC. Le camp de Moïse Katumbi a d’ailleurs annoncé que son rôle au Parlement serait en partie de bloquer toute tentative de révision de cette Constitution.
Et du côté de la société civile, le président de l’Asadho, Jean-Claude Katende, estime pour sa part, dans un message sur les réseaux sociaux, que « cette Constitution reste l’unique instrument qui met les Congolais ensemble » et que « la priorité » est plutôt « la sécurisation de l’est du pays ».
Deux jours plus tard, vendredi 3 mai, à Bruxelles toujours devant la diaspora, le président va un peu plus loin. « Je mettrai en place une commission qui réfléchira sereinement sur comment nous doter d’une Constitution digne de notre pays », assure-t-il.
Ligne rouge pour l'opposition
Ce changement de Constitution, c’est une ligne rouge a déjà prévenu l’opposition en RDC. Le camp de Moïse Katumbi a d’ailleurs annoncé que son rôle au Parlement serait en partie de bloquer toute tentative de révision de cette Constitution.
Et du côté de la société civile, le président de l’Asadho, Jean-Claude Katende, estime pour sa part, dans un message sur les réseaux sociaux, que « cette Constitution reste l’unique instrument qui met les Congolais ensemble » et que « la priorité » est plutôt « la sécurisation de l’est du pays ».
Autres articles
-
Tchad: Mahamat Idriss Déby annonce que le prochain gouvernement ne sera pas d’union nationale
-
Guinée: le porte-parole des sinistrés de l'explosion du dépôt de carburant condamné à 3 mois de prison avec sursis
-
Niger: la Banque mondiale annonce reprendre les décaissements suspendus après le putsch de juillet
-
Tchad: quelle stratégie pour Succès Masra, toujours Premier ministre malgré la présidentielle?
-
Tchad : le Conseil Constitutionnel valide la victoire de Mahamat Déby