Mais d'après l'ONG Freedom from torture, le viol est utilisé dans les prisons à travers le pays comme un moyen d'empêcher les femmes de parler de sujets touchant la politique et les droits de l'homme.
L'organisation, qui aide les victimes de torture, s'est appuyée sur 34 rapports médico-légaux pour ses recherches.
Parmi les femmes examinées se trouvent des traders, des diplômées et des femmes actives âgées de 18 à 62 ans.
Presque toutes ont été arrêtées car elles militaient politiquement ou se battaient pour la défense des droits de l'homme ou parce qu'un proche était actif politiquement.
Plus de la moitié d'entre elles ont subi des viols collectifs, dans certains cas il y a avait jusqu'à dix violeurs.
L'organisation a appelé le gouvernement de la RDC à respecter ses obligations concernant la convention de l'ONU contre la torture.
Source : Rfi.fr
L'organisation, qui aide les victimes de torture, s'est appuyée sur 34 rapports médico-légaux pour ses recherches.
Parmi les femmes examinées se trouvent des traders, des diplômées et des femmes actives âgées de 18 à 62 ans.
Presque toutes ont été arrêtées car elles militaient politiquement ou se battaient pour la défense des droits de l'homme ou parce qu'un proche était actif politiquement.
Plus de la moitié d'entre elles ont subi des viols collectifs, dans certains cas il y a avait jusqu'à dix violeurs.
L'organisation a appelé le gouvernement de la RDC à respecter ses obligations concernant la convention de l'ONU contre la torture.
Source : Rfi.fr
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