
Etienne Tshisekedi, le 26 novembre 2011, à Kinshasa. REUTERS/Finbarr O'Reilly
C'est l'opposition qui en a fait la demande lors des concertations nationales, qui se poursuivent en ce moment. C'est par conséquent aux concertations nationales que le ministre de l'Interieur a annoncé que le dispositif allait être levé.
Un cordon policier qui avait été déployé en janvier 2012, au moment où Etienne Tshisekedi, qui s'etait proclamé président élu de la RDC, s'apprêtait à marcher sur la présidence entouré des ses partisans.
Sécurité du voisinage ou résidence surveillée
« Ce dispositif a été placé là-bas pour sécuriser les gens du voisinage de Monsieur Tshisekedi, qui subissait souvent des incommodités de la part de ses partisans, explique le ministre porte-parole du gouvernement, Lambert Mendé. Etant donné que maintenant, le voisinage de Monsieur Tshisekedi dit avoir trouvé une sorte de convivialité dans ses relations avec les partisans, le ministre de l'Intérieur a décidé de lever ce dispositif. »
Le gouvernement assure que l'opposant a toujours été libre de ses mouvements. Mais depuis un an et demi, l'UDPS parle de résidence surveillée. Pour l'instant, le mouvement d'Etienne Tschisekedi attend de constater la réalité de la levée de ce dispositif.
Un cordon policier qui avait été déployé en janvier 2012, au moment où Etienne Tshisekedi, qui s'etait proclamé président élu de la RDC, s'apprêtait à marcher sur la présidence entouré des ses partisans.
Sécurité du voisinage ou résidence surveillée
« Ce dispositif a été placé là-bas pour sécuriser les gens du voisinage de Monsieur Tshisekedi, qui subissait souvent des incommodités de la part de ses partisans, explique le ministre porte-parole du gouvernement, Lambert Mendé. Etant donné que maintenant, le voisinage de Monsieur Tshisekedi dit avoir trouvé une sorte de convivialité dans ses relations avec les partisans, le ministre de l'Intérieur a décidé de lever ce dispositif. »
Le gouvernement assure que l'opposant a toujours été libre de ses mouvements. Mais depuis un an et demi, l'UDPS parle de résidence surveillée. Pour l'instant, le mouvement d'Etienne Tschisekedi attend de constater la réalité de la levée de ce dispositif.
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