Le prévenu condamné à la plus lourde peine est le principal accusé, le chef de la secte politico-religieuse qui avait appelé à manifester contre la présence dans la région de la Monusco et de la force régionale d'Afrique de l'Est. La peine capitale, la peine de mort a donc été prononcée contre Ephraïm Bisimwa, peine commuée à la perpétuité. Le tribunal a été plus sévère que la demande du procureur militaire qui avait requis 20 ans de prison.
Une condamnation jugée excessive par les avocats réunis au sein d'un collectif : « Mes clients sont des rescapés d'un massacre, tous ont plaidé non coupables », a déclaré un membre de la défense.
Parmi les 114 autres personnes jugées : 62 prévenus écopent de condamnation allant de 10 à 20 ans de prison et 52 sont acquittés. Ce jour-là aussi, 29 mineurs avaient été arrêtés : ils ont tous été acquittés par le tribunal pour enfant.
Les avocats des condamnés ont déjà annoncé leur intention de faire appel.
Une condamnation jugée excessive par les avocats réunis au sein d'un collectif : « Mes clients sont des rescapés d'un massacre, tous ont plaidé non coupables », a déclaré un membre de la défense.
Parmi les 114 autres personnes jugées : 62 prévenus écopent de condamnation allant de 10 à 20 ans de prison et 52 sont acquittés. Ce jour-là aussi, 29 mineurs avaient été arrêtés : ils ont tous été acquittés par le tribunal pour enfant.
Les avocats des condamnés ont déjà annoncé leur intention de faire appel.