
M. Mende, a déclaré à la BBC que toutes les parties prenantes au dialogue n'avait pas signé le document qui selon lui n'est pas inclusive et que beaucoup reste à faire.
"Ce qui a été reproché à ce dernier accord c'est un déficit d'inclusivité du fait de l'absence d'une partie de la classe politique. Force est de constater et le gouvernement le regrette que ce grief fondamental fait à l'accord du 18 octobre n'a pas été rencontré au Centre interdiocésain dans la mesure où une frange importante de l'opposition ainsi qu'une partie importante de l'opposition politique n'ont pas apposé leur signature dans le texte final", a notamment dit M. Mende.
L'abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) qui a assuré la médiation, estime pour sa part que le dialogue est inclusif même si le Front pour le respect de la constitution ne l'a pas signé.
"Ce n'est pas vrai de dire que l'accord n'est pas inclusif. Toutes les parties prenantes ont participé à l'élaboration de cette accord. Le texte signé a connu la participation de tous même de ceux qui n'ont pas signé. C'est cela l'inclusivité", a déclaré l'abbé à la BBC.
Selon l'abbé, il y a un document annexe qui aura valeur d'accord qui est en train d'être négocié.
"Dans l'accord il a été dit que la mise en œuvre des dispositions fera l'objet d'un arrangement particulier qui aura aussi valeur d'accord. C'est le travail qui est en train d'être fat maintenant. On n'a pas voulu surchargé l'accord. On s'est limité à de grands principes. Pour la mise en œuvre, les détails vont suivre" a indiqué l'abbé dans un autre entretien avec Radio Okapi.
"Ce qui a été reproché à ce dernier accord c'est un déficit d'inclusivité du fait de l'absence d'une partie de la classe politique. Force est de constater et le gouvernement le regrette que ce grief fondamental fait à l'accord du 18 octobre n'a pas été rencontré au Centre interdiocésain dans la mesure où une frange importante de l'opposition ainsi qu'une partie importante de l'opposition politique n'ont pas apposé leur signature dans le texte final", a notamment dit M. Mende.
L'abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) qui a assuré la médiation, estime pour sa part que le dialogue est inclusif même si le Front pour le respect de la constitution ne l'a pas signé.
"Ce n'est pas vrai de dire que l'accord n'est pas inclusif. Toutes les parties prenantes ont participé à l'élaboration de cette accord. Le texte signé a connu la participation de tous même de ceux qui n'ont pas signé. C'est cela l'inclusivité", a déclaré l'abbé à la BBC.
Selon l'abbé, il y a un document annexe qui aura valeur d'accord qui est en train d'être négocié.
"Dans l'accord il a été dit que la mise en œuvre des dispositions fera l'objet d'un arrangement particulier qui aura aussi valeur d'accord. C'est le travail qui est en train d'être fat maintenant. On n'a pas voulu surchargé l'accord. On s'est limité à de grands principes. Pour la mise en œuvre, les détails vont suivre" a indiqué l'abbé dans un autre entretien avec Radio Okapi.
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