La trêve avait été annoncée par les États-Unis, puis confirmée plusieurs jours plus tard par au moins deux parties au conflit, les rebelles du M23 et les autorités congolaises.
Après dix jours d’accalmie, les combats ont repris dans le territoire du Masisi ce jeudi et se sont poursuivis ce vendredi, notamment dans les localités de Kibarizo et Matanda, assure Télésphore Mitondeke, le rapporteur de la société civile locale. Différents villages de la zone se sont vidés de leurs habitants, ajoute-t-il. Des habitants qui n’ont pas pu voter le 20 décembre pour les élections générales (présidentielle, législatives et provinciales).
Avec le Rutshuru, le Masisi était exclu du vote, car en partie sous contrôle de la rébellion du M23, soutenus par le Rwanda, selon plusieurs rapports d’experts indépendants. Un conflit qui avait abouti deux jours avant le cessez-le-feu annoncé à des frappes de drones de combats acquis par les Congolais contre des positions M23.
Après dix jours d’accalmie, les combats ont repris dans le territoire du Masisi ce jeudi et se sont poursuivis ce vendredi, notamment dans les localités de Kibarizo et Matanda, assure Télésphore Mitondeke, le rapporteur de la société civile locale. Différents villages de la zone se sont vidés de leurs habitants, ajoute-t-il. Des habitants qui n’ont pas pu voter le 20 décembre pour les élections générales (présidentielle, législatives et provinciales).
Avec le Rutshuru, le Masisi était exclu du vote, car en partie sous contrôle de la rébellion du M23, soutenus par le Rwanda, selon plusieurs rapports d’experts indépendants. Un conflit qui avait abouti deux jours avant le cessez-le-feu annoncé à des frappes de drones de combats acquis par les Congolais contre des positions M23.