Commençons par les Institutions pour dire avec le SOLEIL que le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) prend forme. La Loi portant organisation et fonctionnement a été adoptée hier, 116 députés ont approuvé le projet, 4 parlementaires ont voté contre et 2 députés ont opté pour l’abstention. Selon le ministre de la Justice, les membres du Hcct auront droit à des indemnités et des frais, ils seront au nombre de 150 dont 80 élus au suffrage indirect et 70 nommés par le président de la République.
Les parlementaires qui sont contre le projet parlent dans WALFQUOTIDIEN d’un Sénat-bis. « Chassé par la porte, le Sénat revient par la fenêtre. Selon ses détracteurs, il renaît de ses cendres sous les habits du Hcct », écrit le journal.
On reste avec les Institutions pour parler du Conseil constitutionnel. Le journal ENQUÊTE, renseigne que « pour la désignation des membres du Conseil constitutionnel, Macky Sall drible Moustapha Niasse ». C’est parce que dans le projet de réforme constitutionnelle adopté le 20 mars dernier, il revenait au président de l’Assemblée nationale de désigner deux sur les 7 membres du Conseil constitutionnel mais la Loi organique adoptée hier a changé les règles du jeu, selon le journal. En effet, elle prévoit désormais que le président de l’Assemblée nationale va soumettre au président de la République une liste de quatre personnalités parmi lesquelles il choisit en dernier ressort deux. Du coup, c’est le chef de l’Etat qui choisit tous les juges du Conseil constitutionnel.
Une autre institution à un niveau départemental, on parle du Conseil départemental de Bambey. Le journal le QUOTIDIEN pense qu’Aïda Mbodji garde son pouvoir. C’est parce qu’elle est remplacée par sa candidate Fatou Séne qui a battu Abdoulaye Diouf un apériste investi sur la liste du Pds aux élections départementales. Réaction d’Aïda Mbodji, « à présent, je crois que le pouvoir va nous laisser tranquilles. Maintenant, je vais me déployer au niveau national et international et leur laisser avec la bande à Fatou Séne qui vient de leur infliger une belle correction ».
On revient à l’Assemblée nationale pour signaler avec SUDQUOTIDIEN que « la grâce de Karim hante l’hémicycle ». Selon le journal force est de constater que les débats lors de la plénière ont tourné pour l’essentiel autour de la libération de Karim Wade par grâce présidentielle ».
D’ailleurs lors de cette plénière, le POP met à sa UNE que « pour les présidentielles de 2019, Sidiki Kaba invalide la candidature de Karim ». Le ministre a déclaré en fait que « je ne dis pas que Karim Wade ne pourra pas se présenter à une élection présidentielle. Pour être candidat, il faut jouir d’un casier judiciaire vierge. A l’inverse de la grâce présidentielle obtenue, toutes les sanctions prononcées contre Karim Wade restent et demeurent ».
En tout cas l’ancien président de la République n’est pas content relativement aux arguments avancés pour expliquer la grâce accordée à son fils. « Son fils gracié pour raisons humanitaires, Me Wade se fâche », écrit l’OBS. Pour le père de Karim, « toutes les raisons avancées aujourd’hui étaient constantes au moment où ils mijotaient et planifiaient savamment leur plan politicien visant à nuire à ma famille et à toutes les personnes qui me sont proches ». Me Wade demande à l’actuel chef de l’Etat de dire aux sénégalais les véritables raisons qui l’ont amené à libérer Karim Wade.
« Karim Wade tire les ficelles depuis le Qatar », écrit l’AS. Selon le journal du Qatar où il se la coule douce, Wade-fils est en contact téléphonique avec des responsables libéraux pour les remercier et les inviter à remobiliser les troupes. L’AS soutient qu’il est plus que jamais engagé à briguer les suffrages des Sénégalais.
Cet engagement politique peut avoir une autre conséquence sur l’avenir du Pds semble dire DIRECT INFO. Le journal parle de la mort programmée du Pds authentique avec des partisans de Karim Wade qui vont tenter de contrôler le Pds avec la bénédiction de Wade-père. Le journal se pose une question et apporte un début de réponse. Va-t-on vers une formation libérale newlook ? Tout porte à le croire.
A la UNE de LIBÉRATION on reparle des jeunes interpellés par la Dic à Yoff Tonghor pour des faits de terrorisme présumé. Selon le journal, ces deux collégiens projetaient de rallier la Lybie pour combattre pour l’Etat islamique. Le journal ajoute que leur arrestation est le résultat de six mois de filature et de surveillance.
A la UNE du TÉMOIN, c’est Me Moussa Bocar Thiam qui parle. L’avocat de Sidy Mouhamed Boughaleb, condamné à une peine de 20 ans pour le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye soutient que « c’est la plus grande erreur judiciaire commise au Sénégal depuis les indépendances ».
Sur l’international avec le QUOTIDIEN qui parle de l’attentat suicide d’hier à l’Aéroport d’Istanbul. Le journal cite le site français libération.fr qui parle pour le moment de 50 morts.
On termine dans le même domaine mais avec une information plus heureuse. Emirates annonce qu’à partir du 2 septembre, la desserte entre Dubaï et Dakar sera assurée par un Boeing 777-300ER à la place de l’actuel Airbus A340-300. C’est pour une augmentation de la capacité du transport passager. Information à lire dans le SOLEIL.
Les parlementaires qui sont contre le projet parlent dans WALFQUOTIDIEN d’un Sénat-bis. « Chassé par la porte, le Sénat revient par la fenêtre. Selon ses détracteurs, il renaît de ses cendres sous les habits du Hcct », écrit le journal.
On reste avec les Institutions pour parler du Conseil constitutionnel. Le journal ENQUÊTE, renseigne que « pour la désignation des membres du Conseil constitutionnel, Macky Sall drible Moustapha Niasse ». C’est parce que dans le projet de réforme constitutionnelle adopté le 20 mars dernier, il revenait au président de l’Assemblée nationale de désigner deux sur les 7 membres du Conseil constitutionnel mais la Loi organique adoptée hier a changé les règles du jeu, selon le journal. En effet, elle prévoit désormais que le président de l’Assemblée nationale va soumettre au président de la République une liste de quatre personnalités parmi lesquelles il choisit en dernier ressort deux. Du coup, c’est le chef de l’Etat qui choisit tous les juges du Conseil constitutionnel.
Une autre institution à un niveau départemental, on parle du Conseil départemental de Bambey. Le journal le QUOTIDIEN pense qu’Aïda Mbodji garde son pouvoir. C’est parce qu’elle est remplacée par sa candidate Fatou Séne qui a battu Abdoulaye Diouf un apériste investi sur la liste du Pds aux élections départementales. Réaction d’Aïda Mbodji, « à présent, je crois que le pouvoir va nous laisser tranquilles. Maintenant, je vais me déployer au niveau national et international et leur laisser avec la bande à Fatou Séne qui vient de leur infliger une belle correction ».
On revient à l’Assemblée nationale pour signaler avec SUDQUOTIDIEN que « la grâce de Karim hante l’hémicycle ». Selon le journal force est de constater que les débats lors de la plénière ont tourné pour l’essentiel autour de la libération de Karim Wade par grâce présidentielle ».
D’ailleurs lors de cette plénière, le POP met à sa UNE que « pour les présidentielles de 2019, Sidiki Kaba invalide la candidature de Karim ». Le ministre a déclaré en fait que « je ne dis pas que Karim Wade ne pourra pas se présenter à une élection présidentielle. Pour être candidat, il faut jouir d’un casier judiciaire vierge. A l’inverse de la grâce présidentielle obtenue, toutes les sanctions prononcées contre Karim Wade restent et demeurent ».
En tout cas l’ancien président de la République n’est pas content relativement aux arguments avancés pour expliquer la grâce accordée à son fils. « Son fils gracié pour raisons humanitaires, Me Wade se fâche », écrit l’OBS. Pour le père de Karim, « toutes les raisons avancées aujourd’hui étaient constantes au moment où ils mijotaient et planifiaient savamment leur plan politicien visant à nuire à ma famille et à toutes les personnes qui me sont proches ». Me Wade demande à l’actuel chef de l’Etat de dire aux sénégalais les véritables raisons qui l’ont amené à libérer Karim Wade.
« Karim Wade tire les ficelles depuis le Qatar », écrit l’AS. Selon le journal du Qatar où il se la coule douce, Wade-fils est en contact téléphonique avec des responsables libéraux pour les remercier et les inviter à remobiliser les troupes. L’AS soutient qu’il est plus que jamais engagé à briguer les suffrages des Sénégalais.
Cet engagement politique peut avoir une autre conséquence sur l’avenir du Pds semble dire DIRECT INFO. Le journal parle de la mort programmée du Pds authentique avec des partisans de Karim Wade qui vont tenter de contrôler le Pds avec la bénédiction de Wade-père. Le journal se pose une question et apporte un début de réponse. Va-t-on vers une formation libérale newlook ? Tout porte à le croire.
A la UNE de LIBÉRATION on reparle des jeunes interpellés par la Dic à Yoff Tonghor pour des faits de terrorisme présumé. Selon le journal, ces deux collégiens projetaient de rallier la Lybie pour combattre pour l’Etat islamique. Le journal ajoute que leur arrestation est le résultat de six mois de filature et de surveillance.
A la UNE du TÉMOIN, c’est Me Moussa Bocar Thiam qui parle. L’avocat de Sidy Mouhamed Boughaleb, condamné à une peine de 20 ans pour le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye soutient que « c’est la plus grande erreur judiciaire commise au Sénégal depuis les indépendances ».
Sur l’international avec le QUOTIDIEN qui parle de l’attentat suicide d’hier à l’Aéroport d’Istanbul. Le journal cite le site français libération.fr qui parle pour le moment de 50 morts.
On termine dans le même domaine mais avec une information plus heureuse. Emirates annonce qu’à partir du 2 septembre, la desserte entre Dubaï et Dakar sera assurée par un Boeing 777-300ER à la place de l’actuel Airbus A340-300. C’est pour une augmentation de la capacité du transport passager. Information à lire dans le SOLEIL.
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