Le rapport récemment publié par la Cour des Comptes continue de susciter de vives réactions au Sénégal. Dans une note adressée à la presse, l'économiste sénégalais Magaye Gaye a partagé ses impressions sur ce document, en adoptant une approche critique et vigoureuse. Selon lui, les révélations du rapport, qui mettent en lumière des dysfonctionnements dans la gestion des finances publiques, ne doivent pas seulement être attribuées à l’État, mais aussi à des institutions internationales et locales, notamment le Fonds Monétaire International (FMI) et les banques commerciales sénégalaises.
Magaye Gaye, qui a toujours prôné une plus grande transparence dans la gestion des ressources publiques, considère que ces deux entités ont une part de responsabilité fondamentale dans ce qu’il qualifie de « carnage financier organisé ». Il dénonce ce qu'il appelle « un viol économique du peuple » et un « braquage des deniers publics en plein jour ». Selon lui, l’implication de ces institutions dans la gestion des finances publiques est loin d’être anodine et leur rôle dans cette crise économique doit être sérieusement interrogé.
L’économiste n'hésite pas à employer des termes forts pour dénoncer ce qu’il perçoit comme un véritable « grand saccage des ressources nationales » et une « prédation budgétaire digne d’une mafia d’État ».
Pour lui, il est primordial que la responsabilité du FMI, des banques commerciales locales et de leurs dirigeants soit mise en lumière, car, selon lui, ces institutions ont facilité, voire encouragé, une gestion défectueuse des finances publiques.
Magaye Gaye insiste sur le fait qu'une enquête approfondie doit être menée au sein de ces structures financières. Il appelle les autorités à prendre des mesures concrètes et à envisager des sanctions sévères contre les responsables, qu'ils soient locaux ou internationaux. Cette déclaration vient renforcer les appels à la responsabilité et à la transparence, qui se multiplient face aux critiques croissantes concernant la gestion de l’argent public.
Le rapport de la Cour des Comptes, qui met en évidence des irrégularités et des abus dans la gestion des finances publiques, est un signal d'alarme pour de nombreux acteurs politiques et économiques du pays. Cependant, Magaye Gaye insiste sur le fait que ce ne sont pas seulement les responsables directs du gouvernement qui doivent être tenus responsables, mais également les institutions financières qui, selon lui, ont joué un rôle dans l’aggravation de la situation.
Magaye Gaye, qui a toujours prôné une plus grande transparence dans la gestion des ressources publiques, considère que ces deux entités ont une part de responsabilité fondamentale dans ce qu’il qualifie de « carnage financier organisé ». Il dénonce ce qu'il appelle « un viol économique du peuple » et un « braquage des deniers publics en plein jour ». Selon lui, l’implication de ces institutions dans la gestion des finances publiques est loin d’être anodine et leur rôle dans cette crise économique doit être sérieusement interrogé.
L’économiste n'hésite pas à employer des termes forts pour dénoncer ce qu’il perçoit comme un véritable « grand saccage des ressources nationales » et une « prédation budgétaire digne d’une mafia d’État ».
Pour lui, il est primordial que la responsabilité du FMI, des banques commerciales locales et de leurs dirigeants soit mise en lumière, car, selon lui, ces institutions ont facilité, voire encouragé, une gestion défectueuse des finances publiques.
Magaye Gaye insiste sur le fait qu'une enquête approfondie doit être menée au sein de ces structures financières. Il appelle les autorités à prendre des mesures concrètes et à envisager des sanctions sévères contre les responsables, qu'ils soient locaux ou internationaux. Cette déclaration vient renforcer les appels à la responsabilité et à la transparence, qui se multiplient face aux critiques croissantes concernant la gestion de l’argent public.
Le rapport de la Cour des Comptes, qui met en évidence des irrégularités et des abus dans la gestion des finances publiques, est un signal d'alarme pour de nombreux acteurs politiques et économiques du pays. Cependant, Magaye Gaye insiste sur le fait que ce ne sont pas seulement les responsables directs du gouvernement qui doivent être tenus responsables, mais également les institutions financières qui, selon lui, ont joué un rôle dans l’aggravation de la situation.
Autres articles
-
Ndiayène Pendao : le Président Diomaye a visité le centre de Boubé et le Casier rizicole de Saré Walo
-
La 19ème édition du Forum africain des systèmes alimentaires prévue à Dakar du 30 août au 05 septembre 2025 (officiel)
-
Détournement de fonds publics : l’audition de Ndeye Saly Diop reporté au 19 juin 2025
-
Arrestation de Moustapha Diakhaté : le PIT dénonce une « dérive liberticide » et exige sa libération
-
Détournement de 73 millions de F Cfa : Sophie Gladima blanchie par l'entrepreneur qui a gagné le marché