Pour Felwine Sarr, la reddition des comptes n’est pas une démarche exceptionnelle, mais plutôt un processus fondamental et normal dans toute société démocratique. « La reddition des comptes est un processus normal dans une démocratie et il est normal que les personnes qui ont été aux affaires, une fois qu'elles n'y sont plus, viennent rendre compte de la manière dont elles ont géré les deniers publics », a-t-il affirmé. Selon lui, il s’agit d’une étape indispensable pour assurer la transparence et la responsabilité des gouvernants vis-à-vis des citoyens.
L’universitaire a souligné que, bien que ce processus de reddition des comptes soit essentiel, il reste un défi majeur pour le Sénégal, et ce, depuis plusieurs décennies. « Depuis le régime d'Abdou Diouf, on a du mal à mettre en œuvre de manière claire et convaincante un processus de reddition des comptes qui arrive jusqu’à son terme », a-t-il déploré. Selon lui, la difficulté à faire aboutir ce processus constitue un frein à la transparence et à la confiance des citoyens dans les institutions publiques.
Felwine Sarr a ajouté que la reddition des comptes est non seulement un signe de vitalité démocratique, mais aussi un moyen pour les citoyens de savoir de manière précise comment l’argent public a été géré. L'enfant de Niodior a insisté sur la nécessité pour le Sénégal de franchir cette étape importante, afin de renforcer la démocratie et d’assurer une meilleure gestion des ressources publiques. Pour lui, la transparence est essentielle pour que le pays avance sur la voie de la bonne gouvernance.
En somme, l’appel de Felwine Sarr s’inscrit dans un désir de voir le Sénégal évoluer vers une gestion plus rigoureuse. Dans ce cadre, a-t-il indiqué, "il faut une transparente responsable des fonds publics, pour renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions et leur gouvernance".
L’universitaire a souligné que, bien que ce processus de reddition des comptes soit essentiel, il reste un défi majeur pour le Sénégal, et ce, depuis plusieurs décennies. « Depuis le régime d'Abdou Diouf, on a du mal à mettre en œuvre de manière claire et convaincante un processus de reddition des comptes qui arrive jusqu’à son terme », a-t-il déploré. Selon lui, la difficulté à faire aboutir ce processus constitue un frein à la transparence et à la confiance des citoyens dans les institutions publiques.
Felwine Sarr a ajouté que la reddition des comptes est non seulement un signe de vitalité démocratique, mais aussi un moyen pour les citoyens de savoir de manière précise comment l’argent public a été géré. L'enfant de Niodior a insisté sur la nécessité pour le Sénégal de franchir cette étape importante, afin de renforcer la démocratie et d’assurer une meilleure gestion des ressources publiques. Pour lui, la transparence est essentielle pour que le pays avance sur la voie de la bonne gouvernance.
En somme, l’appel de Felwine Sarr s’inscrit dans un désir de voir le Sénégal évoluer vers une gestion plus rigoureuse. Dans ce cadre, a-t-il indiqué, "il faut une transparente responsable des fonds publics, pour renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions et leur gouvernance".
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